Le thème du jour s’inscrit dans le sillage de l’adoption récente par l’OMC du tout premier accord international sur la facilitation des échanges, ainsi que l’explique Auguste Mbappe Penda, Directeur général du Conseil national des chargeurs du Cameroun qui préside aux travaux.
Organisé par l’Union des conseils des chargeurs africains (UCCA) en partenariat avec le Conseil congolais des Chargeurs dirigé par Jean-Jacques BANUANINA DIA-NGOMA, cet événement entre dans une tradition de rencontres inter-africaines dont le premier round s’est tenu à Accra (Ghana) en 1999.
L’Union des chargeurs africains qui regroupe les pays allant de la Mauritanie à l’Angola se veut un regroupement d’acteurs partageant les mêmes objectifs pour améliorer leur pouvoir de négociation et devenir une force de proposition vis-à-vis des pouvoirs publics africains.
Pour Ali Traoré, directeur général du Conseil des chargeurs du Burkina Faso, “les principaux défis restent la forte demande de l’Afrique vis à vis du commerce extérieur, l’entière dépendance des États aux compagnies européennes et américaines, l’absence de base règlementaire pour la fixation du fret suite à la disparition des conférences maritimes et la cherté du fret en Afrique, seul endroit au monde où la tendance est haussière”.
Ces septièmes journées se déroulent jusqu’au 14 novembre. Il sera question fortement de l’efficacité des guichets uniques du commerce extérieur et de l’harmonisation des procédures.
financialafrik
Organisé par l’Union des conseils des chargeurs africains (UCCA) en partenariat avec le Conseil congolais des Chargeurs dirigé par Jean-Jacques BANUANINA DIA-NGOMA, cet événement entre dans une tradition de rencontres inter-africaines dont le premier round s’est tenu à Accra (Ghana) en 1999.
L’Union des chargeurs africains qui regroupe les pays allant de la Mauritanie à l’Angola se veut un regroupement d’acteurs partageant les mêmes objectifs pour améliorer leur pouvoir de négociation et devenir une force de proposition vis-à-vis des pouvoirs publics africains.
Pour Ali Traoré, directeur général du Conseil des chargeurs du Burkina Faso, “les principaux défis restent la forte demande de l’Afrique vis à vis du commerce extérieur, l’entière dépendance des États aux compagnies européennes et américaines, l’absence de base règlementaire pour la fixation du fret suite à la disparition des conférences maritimes et la cherté du fret en Afrique, seul endroit au monde où la tendance est haussière”.
Ces septièmes journées se déroulent jusqu’au 14 novembre. Il sera question fortement de l’efficacité des guichets uniques du commerce extérieur et de l’harmonisation des procédures.
financialafrik