En outre, la Conférence réitère sa condamnation absolue du coup d’Etat du 24 janvier 2022 et exprime sa préoccupation face au maintien en détention du président Roch Marc Christian KABORE. « Au vu de ce qui précède et sous peine de sanctions, la Conférence exige la libération sans condition du président Roch Marc Christian KABORE », rapporte le communiqué issu de la rencontre.
Selon le document, la Cedeao confirme la suspension du Burkina Faso de toutes ses institutions jusqu’au rétablissement de l’ordre constitutionnel. Aussi, appelle-t-elle « l’autorité militaire à mettre en place les organes de la Transition, à adopter un calendrier électoral et favoriser le retour à l’ordre constitutionnel le plus rapidement ».
Le communiqué confie également que la Cedeao instruit sa Commission à maintenir le contact avec les nouvelles autorités, à travers la mise en place de mécanismes de suivi auxquels seront associés l’Union africaine et les Nations Unies, dans le but d’accompagner la Transition.
Bassirou MBAYE
Selon le document, la Cedeao confirme la suspension du Burkina Faso de toutes ses institutions jusqu’au rétablissement de l’ordre constitutionnel. Aussi, appelle-t-elle « l’autorité militaire à mettre en place les organes de la Transition, à adopter un calendrier électoral et favoriser le retour à l’ordre constitutionnel le plus rapidement ».
Le communiqué confie également que la Cedeao instruit sa Commission à maintenir le contact avec les nouvelles autorités, à travers la mise en place de mécanismes de suivi auxquels seront associés l’Union africaine et les Nations Unies, dans le but d’accompagner la Transition.
Bassirou MBAYE