«Avec ce nouvel engagement, le Groupe de la Banque mondiale a pour objectif de long terme d’aider la Guinée-Bissau à atteindre le double objectif de réduire la pauvreté et de mieux répartir les richesses tout en tenant compte d’un contexte à haut risque», indique Louise Cord, directrice des opérations de la Banque mondiale pour la Guinée-Bissau.
En effet, le Groupe de la Banque mondiale s’efforcera également de renforcer l’exercice des missions fondamentales de l’État en utilisant des instruments fondés sur les résultats pour générer des incitations au changement. De même, afin d’améliorer la qualité des services publics, il soutiendra et collaborera avec les collectivités et les citoyens pour renforcer directement la demande venant de la base, ainsi que les mécanismes de responsabilisation de l’administration.
Le nouveau cadre de partenariat-pays repose sur les conclusions du diagnostic systématique réalisé par le Groupe de la Banque mondiale en 2016 et sur une évaluation de la fragilité effectuée en 2015 . Il est également le fruit d’une série de consultations avec les autorités du pays, mais aussi le secteur privé, la société civile et les partenaires de développement.
Le cadre de partenariat avec la Guinée-Bissau vient soutenir le plan de développement national défini par le gouvernement élu en 2014 et baptisé Terra Ranka (« nouveau départ »). L’enveloppe de financements allouée à la Guinée-Bissau dans le cadre de la 18e reconstitution des ressources de l’Association internationale de développement (IDA-18) devrait pratiquement doubler par rapport à celle consentie au titre d’IDA-17 (42 millions de dollars).
Pathé TOURE
En effet, le Groupe de la Banque mondiale s’efforcera également de renforcer l’exercice des missions fondamentales de l’État en utilisant des instruments fondés sur les résultats pour générer des incitations au changement. De même, afin d’améliorer la qualité des services publics, il soutiendra et collaborera avec les collectivités et les citoyens pour renforcer directement la demande venant de la base, ainsi que les mécanismes de responsabilisation de l’administration.
Le nouveau cadre de partenariat-pays repose sur les conclusions du diagnostic systématique réalisé par le Groupe de la Banque mondiale en 2016 et sur une évaluation de la fragilité effectuée en 2015 . Il est également le fruit d’une série de consultations avec les autorités du pays, mais aussi le secteur privé, la société civile et les partenaires de développement.
Le cadre de partenariat avec la Guinée-Bissau vient soutenir le plan de développement national défini par le gouvernement élu en 2014 et baptisé Terra Ranka (« nouveau départ »). L’enveloppe de financements allouée à la Guinée-Bissau dans le cadre de la 18e reconstitution des ressources de l’Association internationale de développement (IDA-18) devrait pratiquement doubler par rapport à celle consentie au titre d’IDA-17 (42 millions de dollars).
Pathé TOURE