Il est donc impératif d'explorer les différents cadres macroéconomiques propices à une transformation structurelle des économies africaines du 21e siècle. C'est ce que le prochain rapport à paraître de l 'ECA, Cadre macroéconomique pour une transformation structurelle des économies africaines, vise à faire, au travers une profonde révision des évolutions macroéconomiques et des diverses politiques de développements adoptées par les pays africains durant les quatre dernières décennies, et au travers une analyse critique des éléments d'un nouveau cadre macroéconomique général pour la transformation structurelle prochaine de l'Afrique.
Le rapport démontre que les cadres politiques qui ont prévalu par le passé échouent à encourager les investissements publics de manière telle que les investissements privés sont attirés. Ceci est dû à la façon dont les relations entre les cadres réglementaires, les configurations institutionnelles et les résultats macroéconomiques ont évoluées. Dans un même temps, une disposition inadéquate des biens publics de qualité pour les parties locales a résulté en une rapide diminution des réserves des actifs de production, plutôt qu'en une accumulation attendue des processus de développements habituels.
Dans le contexte narratif de l' « Africa rising», l'Afrique se trouve à un moment décisif historique avec de nombreuses opportunités ainsi que des défis considérables. En plus de veiller à la stabilité macroéconomique, les politiques macroéconomiques devraient être envisagées dans une optique de stratégie de développement globale et proactive, conçue spécifiquement pour faciliter le processus de transformation des structures économiques et sociales, et générer une croissance équilibrée et pro-pauvre.
Le nouveau cadre macroéconomique est basé sur les principaux éléments constitutifs des déficits caractéristiques des économies africaines: i) investir dans les ressources humaines ; ii) construire des infrastructures économiques et sociales ; et iii) réaliser une transformation institutionnelle pour une coalition publique-privé productive. La vision ambitieuse de la transformation structurelle nécessite une approche transversale des cadres politiques, attirant l'attention sur les dynamiques entre les cadres macroéconomiques et sur les politiques complémentaires dans des domaines tels que le commerce, la technologie, le secteur social et l'industrie.
Le rapport démontre que les cadres politiques qui ont prévalu par le passé échouent à encourager les investissements publics de manière telle que les investissements privés sont attirés. Ceci est dû à la façon dont les relations entre les cadres réglementaires, les configurations institutionnelles et les résultats macroéconomiques ont évoluées. Dans un même temps, une disposition inadéquate des biens publics de qualité pour les parties locales a résulté en une rapide diminution des réserves des actifs de production, plutôt qu'en une accumulation attendue des processus de développements habituels.
Dans le contexte narratif de l' « Africa rising», l'Afrique se trouve à un moment décisif historique avec de nombreuses opportunités ainsi que des défis considérables. En plus de veiller à la stabilité macroéconomique, les politiques macroéconomiques devraient être envisagées dans une optique de stratégie de développement globale et proactive, conçue spécifiquement pour faciliter le processus de transformation des structures économiques et sociales, et générer une croissance équilibrée et pro-pauvre.
Le nouveau cadre macroéconomique est basé sur les principaux éléments constitutifs des déficits caractéristiques des économies africaines: i) investir dans les ressources humaines ; ii) construire des infrastructures économiques et sociales ; et iii) réaliser une transformation institutionnelle pour une coalition publique-privé productive. La vision ambitieuse de la transformation structurelle nécessite une approche transversale des cadres politiques, attirant l'attention sur les dynamiques entre les cadres macroéconomiques et sur les politiques complémentaires dans des domaines tels que le commerce, la technologie, le secteur social et l'industrie.