Dans le meilleur des cas, le rapport souligne qu’avec la maîtrise de la propagation du coronavirus et des mesures rigoureuses de distanciation physique prises de manière précoce, il faudrait à l’Afrique 44 milliards de dollars pour les tests, les équipements de protection individuelle et le traitement des patients atteints de la Covid-19 nécessitant une hospitalisation et des soins intensifs.
Par ailleurs, le document indique que selon des estimations récentes, l’Afrique a besoin de 100 milliards de dollars par an pour combler son déficit d’infrastructure (McKinsey & Company, 2019). Ce chiffre, à l’en croire, correspond aux estimations de la Banque africaine de développement (Bad) des besoins en infrastructures du continent, qui s’élèveraient entre 130 et 170 milliards de dollars par an, avec un déficit de financement de 68 à 108 milliards de dollars (BAD, 2018).
Pour la Cea, ce déficit représente environ 3 à 5 % du Produit intérieur brut (Pib) du continent. « Les secteurs clés sont l’énergie et les transports, qui représentent environ 55 % des besoins de financement, et l’approvisionnement en eau et l’assainissement, qui eux représentent environ 40 % », note enfin, le rapport.
Bassirou MBAYE
Par ailleurs, le document indique que selon des estimations récentes, l’Afrique a besoin de 100 milliards de dollars par an pour combler son déficit d’infrastructure (McKinsey & Company, 2019). Ce chiffre, à l’en croire, correspond aux estimations de la Banque africaine de développement (Bad) des besoins en infrastructures du continent, qui s’élèveraient entre 130 et 170 milliards de dollars par an, avec un déficit de financement de 68 à 108 milliards de dollars (BAD, 2018).
Pour la Cea, ce déficit représente environ 3 à 5 % du Produit intérieur brut (Pib) du continent. « Les secteurs clés sont l’énergie et les transports, qui représentent environ 55 % des besoins de financement, et l’approvisionnement en eau et l’assainissement, qui eux représentent environ 40 % », note enfin, le rapport.
Bassirou MBAYE