‘’Il nous faut forcément trouver des solutions d’adaptation qui passent par la maîtrise de l’eau pour faire de l’agriculture irriguée tout au long de l’année’’ a-t-il préconisé.
M. Traoré intervenait lors de l’ouverture d’un atelier scientifique de trois jours sur le thème: ‘’eaux et sociétés face au changement climatique dans le bassin de la Casamance’’.
Cet atelier est organisé par le Conseil national de recherches d’Italie (CNR), en collaboration avec Patrimoines et territoires de l’eau (PATEO), l'ISRA et l’Université Assane Seck de Ziguinchor.
Il est prévu le lancement de l’Initiative Casamance, un réseau scientifique qui va regrouper des chercheurs du Nord et du Sud pour harmoniser la demande et l’offre de produits scientifiques au service du développement de la région méridionale.
Le directeur scientifique de l’ISRA a souligné que ‘’cet atelier fournira certainement des éléments pour une meilleure connaissance de l’environnement de la production du riz’’.
‘’Dans la zone Sud, il est important que des synergies soient mises en œuvres pour apporter la contribution de la recherche pour la maitrise de l’eau‘’, a-t-il déclaré.
M. Traoré a précisé que la riziculture pratiquée en Casamance est pluviale et dépend fortement des conditions climatiques.
Face au phénomène de l’avancée de la langue salée et d’acidification des terres, El Hadji Traoré a suggéré des variétés adaptées à ces différentes intoxications en Casamance constituée des régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda.
L’assistante technique du PAPSEN dans la zone Sud, Liliana Petri, a fait savoir que la coopération italienne a compris que la problématique du changement climatique est un élément clé pour promouvoir les nouvelles initiatives dans le monde rural.
Le Programme d’appui au programme national d’investissement de l’agriculture au Sénégal (PAPSEN) est mis en place par le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural, pour le développement de la riziculture dans la région naturelle de Casamance, indique un document remis à la presse.
Le programme prend en compte la réhabilitation des pistes de production et la construction d’ouvrage hydro-agricole dans les régions de Sédhiou et de Kolda, précise le texte.
APS
M. Traoré intervenait lors de l’ouverture d’un atelier scientifique de trois jours sur le thème: ‘’eaux et sociétés face au changement climatique dans le bassin de la Casamance’’.
Cet atelier est organisé par le Conseil national de recherches d’Italie (CNR), en collaboration avec Patrimoines et territoires de l’eau (PATEO), l'ISRA et l’Université Assane Seck de Ziguinchor.
Il est prévu le lancement de l’Initiative Casamance, un réseau scientifique qui va regrouper des chercheurs du Nord et du Sud pour harmoniser la demande et l’offre de produits scientifiques au service du développement de la région méridionale.
Le directeur scientifique de l’ISRA a souligné que ‘’cet atelier fournira certainement des éléments pour une meilleure connaissance de l’environnement de la production du riz’’.
‘’Dans la zone Sud, il est important que des synergies soient mises en œuvres pour apporter la contribution de la recherche pour la maitrise de l’eau‘’, a-t-il déclaré.
M. Traoré a précisé que la riziculture pratiquée en Casamance est pluviale et dépend fortement des conditions climatiques.
Face au phénomène de l’avancée de la langue salée et d’acidification des terres, El Hadji Traoré a suggéré des variétés adaptées à ces différentes intoxications en Casamance constituée des régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda.
L’assistante technique du PAPSEN dans la zone Sud, Liliana Petri, a fait savoir que la coopération italienne a compris que la problématique du changement climatique est un élément clé pour promouvoir les nouvelles initiatives dans le monde rural.
Le Programme d’appui au programme national d’investissement de l’agriculture au Sénégal (PAPSEN) est mis en place par le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural, pour le développement de la riziculture dans la région naturelle de Casamance, indique un document remis à la presse.
Le programme prend en compte la réhabilitation des pistes de production et la construction d’ouvrage hydro-agricole dans les régions de Sédhiou et de Kolda, précise le texte.
APS