Selon lui, le salut viendra de la révolution verte. Certes, c’est un pari sur l’avenir qui a un coût aujourd’hui, mais celui-ci est bien moindre comparé à l’amélioration du bien-être humain, de l’équité sociale, aux bénéfices environnementaux et à la raréfaction des ressources qui est fonction des conséquences économiques du changement climatique.
«Nous savons aussi que les Etats, ceux du Sud en particulier, ont une capacité financière limitée pour aller vers ces choix d’amoindrir les effets des dérèglements, qui nécessitent des financements requis importants parmi lesquels le financement vert», indique-t-il.
Pour le Premier ministre, certes, au nom du principe de responsabilité commune mais différenciée, les pays en développement veulent que le leadership de la réduction soit pris par les pays développés, en majeure partie responsables de la crise écologique. Mais, ils ne peuvent à eux seuls soutenir toute l’action planétaire. Aussi, a-t-il fait savoir, les pays en développement gros émetteurs doivent, non seulement soutenir la réduction des émissions de gaz à effet de serre, mais encore, ils doivent continuer à s’orienter vers des activités à faible intensité en carbone.
C’est ainsi que la finance verte dans les pays en développement prendra davantage compte des investissements comportant des bénéfices pour le développement et des mesures incitatives, afin de promouvoir l’économie verte, avec une forte implication du secteur privé.
Sur la palette d’incitations fiscales existantes, chaque pays devra trouver sa voie.
Avec un cadre réglementaire favorable, l’assurance peut être donnée aux entreprises qui investissent dans des énergies renouvelables ou qui ont une démarche écologique. C’est quelque part le gage de création d’emplois et de revenus,
Certes, nous pouvons jouir pleinement des ressources de la terre, mais nous avons aussi le devoir de préserver ce capital pour les générations futures.
Pathe TOURE
«Nous savons aussi que les Etats, ceux du Sud en particulier, ont une capacité financière limitée pour aller vers ces choix d’amoindrir les effets des dérèglements, qui nécessitent des financements requis importants parmi lesquels le financement vert», indique-t-il.
Pour le Premier ministre, certes, au nom du principe de responsabilité commune mais différenciée, les pays en développement veulent que le leadership de la réduction soit pris par les pays développés, en majeure partie responsables de la crise écologique. Mais, ils ne peuvent à eux seuls soutenir toute l’action planétaire. Aussi, a-t-il fait savoir, les pays en développement gros émetteurs doivent, non seulement soutenir la réduction des émissions de gaz à effet de serre, mais encore, ils doivent continuer à s’orienter vers des activités à faible intensité en carbone.
C’est ainsi que la finance verte dans les pays en développement prendra davantage compte des investissements comportant des bénéfices pour le développement et des mesures incitatives, afin de promouvoir l’économie verte, avec une forte implication du secteur privé.
Sur la palette d’incitations fiscales existantes, chaque pays devra trouver sa voie.
Avec un cadre réglementaire favorable, l’assurance peut être donnée aux entreprises qui investissent dans des énergies renouvelables ou qui ont une démarche écologique. C’est quelque part le gage de création d’emplois et de revenus,
Certes, nous pouvons jouir pleinement des ressources de la terre, mais nous avons aussi le devoir de préserver ce capital pour les générations futures.
Pathe TOURE