« Pour que l'Afrique soit capable de se nourrir elle-même maintenant et dans le futur, il faudra investir davantage sur la recherche en changement climatique, en biotechnologie et développement et en innovation », souligne (ClimDev-Afrique)", un consortium regroupant trois grandes institutions panafricaines, notamment la Commission de l'Union africaine (CUA), la Commission Economique pour l'Afrique (CEA) et la Banque Africaine de Développement (BAD).
Pour ce programme qui prône « une réponse africaine aux changements climatiques », « il faudra rendre la technologie accessible et abordable pour les paysans, multiplier les opportunités d'accès facile au financement et à l'assurance agricoles, faciliter les marchés et le commerce à tous les niveaux et créer les conditions propices aux investissements du secteur privé dans la chaine de valeur agricole ».
Toutefois, reconnait le programme, la performance agricole ne saurait s'améliorer sans investir dans l'énergie propre et efficace, moteur de toute transformation de la chaine de valeur de l'agriculture et des produits alimentaires sans augmentation des niveaux d'émission de gaz à effet de serre.
Pour ce programme logé au Centre africain des politiques en matière de climat (CAPC, un centre de la Commission Economique ds Nations Unies pour l'Afrique (CEA), « il est également important de mieux comprendre le lien entre agriculture, énergie et eau et savoir comment l'Afrique peut tirer parti des écosystèmes et du capital naturel pour réaliser son autosuffisance alimentaire ».
Plusieurs experts, universitaires, leaders politiques, représentants de la société civile et d'institutions engagées dans les questions relatives au climat et au développement sont conviés à trouver les voies et moyens de mettre en application cette équation afin de permettre à l'Afrique de jouir des opportunités des changements climatiques.
La quatrième conférence sur les changements climatiques et le développement en Afrique qui se tiendra du 8 au 10 octobre à Marrakech offre l'occasion au gratin d'intellectuels et de praticiens invités à la rencontre de doter le continent d'une boussole permettant de profiter des énormes opportunités des changements climatiques.
Outre la recherche en changement climatique, la rencontre de Marrakech sera également l'occasion de discuter de plusieurs autres sujets importants pour le développement du continent. Il s'agit entre autres du rôle des données climatiques, des informations et des connaissances pour la production agricole, la gestion des ressources en eau et la sécurité alimentaire, les possibilités offertes par l'agriculture pour le développement des énergies renouvelables en Afrique et la question de l'innovation et de la technologie pour améliorer la transformation agricole dans un environnement de changement climatique.
(ClimDev-Afrique)" (Climat pour le développement en Afrique) est, rappelle-t-on, un consortium regroupant trois grandes institutions panafricaines, notamment la Commission de l'Union africaine (CUA), la Commission Economique pour l'Afrique (CEA) et la Banque Africaine de Développement (BAD).
Pour ce programme qui prône « une réponse africaine aux changements climatiques », « il faudra rendre la technologie accessible et abordable pour les paysans, multiplier les opportunités d'accès facile au financement et à l'assurance agricoles, faciliter les marchés et le commerce à tous les niveaux et créer les conditions propices aux investissements du secteur privé dans la chaine de valeur agricole ».
Toutefois, reconnait le programme, la performance agricole ne saurait s'améliorer sans investir dans l'énergie propre et efficace, moteur de toute transformation de la chaine de valeur de l'agriculture et des produits alimentaires sans augmentation des niveaux d'émission de gaz à effet de serre.
Pour ce programme logé au Centre africain des politiques en matière de climat (CAPC, un centre de la Commission Economique ds Nations Unies pour l'Afrique (CEA), « il est également important de mieux comprendre le lien entre agriculture, énergie et eau et savoir comment l'Afrique peut tirer parti des écosystèmes et du capital naturel pour réaliser son autosuffisance alimentaire ».
Plusieurs experts, universitaires, leaders politiques, représentants de la société civile et d'institutions engagées dans les questions relatives au climat et au développement sont conviés à trouver les voies et moyens de mettre en application cette équation afin de permettre à l'Afrique de jouir des opportunités des changements climatiques.
La quatrième conférence sur les changements climatiques et le développement en Afrique qui se tiendra du 8 au 10 octobre à Marrakech offre l'occasion au gratin d'intellectuels et de praticiens invités à la rencontre de doter le continent d'une boussole permettant de profiter des énormes opportunités des changements climatiques.
Outre la recherche en changement climatique, la rencontre de Marrakech sera également l'occasion de discuter de plusieurs autres sujets importants pour le développement du continent. Il s'agit entre autres du rôle des données climatiques, des informations et des connaissances pour la production agricole, la gestion des ressources en eau et la sécurité alimentaire, les possibilités offertes par l'agriculture pour le développement des énergies renouvelables en Afrique et la question de l'innovation et de la technologie pour améliorer la transformation agricole dans un environnement de changement climatique.
(ClimDev-Afrique)" (Climat pour le développement en Afrique) est, rappelle-t-on, un consortium regroupant trois grandes institutions panafricaines, notamment la Commission de l'Union africaine (CUA), la Commission Economique pour l'Afrique (CEA) et la Banque Africaine de Développement (BAD).