Abdoulaye Baldé, ministre de l'Environnement et du Développement Durable
Il s’exprimait lors de la clôture de l’atelier de l’Union des Conseils Economiques et Sociaux d’Afrique (UCESA) et de l’Union des Conseils Economiques et Sociaux et Institutions similaires des états et gouvernements membres de la Francophonie (UCESIF).
Selon le ministre de l’environnement et du développement durable les pays les plus exposés aux impacts du changement climatique demeurent les pays les moins émetteurs de gaz à effet de serre, les pays ayant peu de capacités pour faire face techniquement et économiquement à ces aléas. Et le Sénégal, à l’instar des autres pays, devra prendre en charge ce défi pour maintenir sa trajectoire d’émergence et garantir une sécurité pour ces populations
Le réchauffement de la planète aura de profondes répercussions sur les modes de production des aliments et compte tenu de la menace croissante que représente le changement climatique pour les disponibilités alimentaires mondiales, et des problèmes qu'il pose pour la sécurité alimentaire et la nutrition, les responsables publics doivent intervenir d'urgence et de façon concertée
Le ministre a invité la communauté internationale à s’engager aisément dans le financement de l’adaptation et à considérer la particularité des pays pauvres pour l’accès au financement, notamment l’Afrique, au regard des coûts additionnels engendrés par le dérèglement climat.
Toutefois il a ajouté que l’Afrique ne représente que 4% des émissions mondiales, mais au regard de sa croissance économique et démographique, sa responsabilité sur le réchauffement climatique ne sera pas négligeable dans le futur d’où nous devons veiller, à ce que le réchauffement de la température, n’excède pas 2°C d’ici 2050 ; c’est l’objectif de Paris, du nouveau régime climatique applicable à tous.
Poursuivant, Abdoulaye Bibi Baldé a annoncé que la question du traitement adéquat de l’adaptation à la 21ème Conférence à Paris est inéluctable. Donc un objectif quantifié d’accroissement de la résilience des populations face aux impacts négatifs du Changement Climatique doit y être défini. Et ceci permettra d’accompagner les communautés pauvres et vulnérables et d’amoindrir les coûts induits par les catastrophes naturelles que sont les inondations, les sécheresses, l’invasion marine ou fluviale, le déficit hydrique, les risques sanitaires.
Fatou Blondin Cissé
Selon le ministre de l’environnement et du développement durable les pays les plus exposés aux impacts du changement climatique demeurent les pays les moins émetteurs de gaz à effet de serre, les pays ayant peu de capacités pour faire face techniquement et économiquement à ces aléas. Et le Sénégal, à l’instar des autres pays, devra prendre en charge ce défi pour maintenir sa trajectoire d’émergence et garantir une sécurité pour ces populations
Le réchauffement de la planète aura de profondes répercussions sur les modes de production des aliments et compte tenu de la menace croissante que représente le changement climatique pour les disponibilités alimentaires mondiales, et des problèmes qu'il pose pour la sécurité alimentaire et la nutrition, les responsables publics doivent intervenir d'urgence et de façon concertée
Le ministre a invité la communauté internationale à s’engager aisément dans le financement de l’adaptation et à considérer la particularité des pays pauvres pour l’accès au financement, notamment l’Afrique, au regard des coûts additionnels engendrés par le dérèglement climat.
Toutefois il a ajouté que l’Afrique ne représente que 4% des émissions mondiales, mais au regard de sa croissance économique et démographique, sa responsabilité sur le réchauffement climatique ne sera pas négligeable dans le futur d’où nous devons veiller, à ce que le réchauffement de la température, n’excède pas 2°C d’ici 2050 ; c’est l’objectif de Paris, du nouveau régime climatique applicable à tous.
Poursuivant, Abdoulaye Bibi Baldé a annoncé que la question du traitement adéquat de l’adaptation à la 21ème Conférence à Paris est inéluctable. Donc un objectif quantifié d’accroissement de la résilience des populations face aux impacts négatifs du Changement Climatique doit y être défini. Et ceci permettra d’accompagner les communautés pauvres et vulnérables et d’amoindrir les coûts induits par les catastrophes naturelles que sont les inondations, les sécheresses, l’invasion marine ou fluviale, le déficit hydrique, les risques sanitaires.
Fatou Blondin Cissé