S’adressant aux administrateurs et managers publics, Bassirou Diomaye Faye a déclaré que le rôle qu’ils jouent dans la conduite de l’action publique requiert un engagement total, une loyauté absolue, une déontologie exemplaire, et une intégrité à toute épreuve.
«Il exige aussi une parfaite connaissance de l’organisation de l’État et de ses procédures, notamment celles régissant la commande publique.
«Sur ce dernier point, j’ai déjà reçu du Premier Ministre, le Projet de création d'une agence nationale de centralisation de la commande publique. Notre objectif est de rationaliser les dépenses de l’État et d’améliorer nos marges de manœuvre budgétaires, dans le cadre d’un assainissement durable et d’une gestion vertueuse de nos finances publiques », a annoncé le président Faye. Il a affirmé que c’est ensemble que nous parviendrons à construire une gouvernance de souveraineté, une gouvernance de solutions et une gouvernance de résultats.
Dans cette dynamique, sous la coordination du ministère des Finances et du Budget et la supervision du Premier Ministre, il leur demande de finaliser les lettres de politique sectorielle dans chaque ministère et d’instaurer une culture de dialogue de gestion tant au sein et qu’entre les ministères.
Le président de la République juge que cette démarche est essentielle pour renforcer l’efficience et produire des résultats concrets, dans le délai fixé à chaque entité. «J’en appelle aussi à la généralisation du Management de la qualité dans l’ensemble des structures publiques et parapubliques. Nous devons faire progresser la culture de la qualité et viser la certification systématique de toutes nos procédures, qu’elles soient simples ou complexes. Telle est la condition pour garantir la continuité de l’État, qui dépasse les régimes et les personnes au pouvoir », a indiqué Bassirou Diomaye Faye.
Il a dans la même dynamique, souligné que le temps est également venu d’accélérer la transformation numérique de nos administrations. A son avis, la dématérialisation des formalités et leur accessibilité simplifiée représentent des gages de transparence et de bonne gouvernance. Le président Faye a demandé donc au Chef du gouvernement de lancer la réforme cruciale du système de gestion des finances publiques, en intégrant les systèmes d’information financière de l’État.
«Le 24 février 2025, je lancerai le New Deal technologique. Il nous permettra de bâtir un service public moderne, agile et tourné vers l’avenir. Parallèlement, j’encourage le Gouvernement à faire de l’innovation publique un levier d’efficacité et un vecteur de communication, à l’image du récent Gov’Aton », a-t-il dit.
Adou Faye
«Il exige aussi une parfaite connaissance de l’organisation de l’État et de ses procédures, notamment celles régissant la commande publique.
«Sur ce dernier point, j’ai déjà reçu du Premier Ministre, le Projet de création d'une agence nationale de centralisation de la commande publique. Notre objectif est de rationaliser les dépenses de l’État et d’améliorer nos marges de manœuvre budgétaires, dans le cadre d’un assainissement durable et d’une gestion vertueuse de nos finances publiques », a annoncé le président Faye. Il a affirmé que c’est ensemble que nous parviendrons à construire une gouvernance de souveraineté, une gouvernance de solutions et une gouvernance de résultats.
Dans cette dynamique, sous la coordination du ministère des Finances et du Budget et la supervision du Premier Ministre, il leur demande de finaliser les lettres de politique sectorielle dans chaque ministère et d’instaurer une culture de dialogue de gestion tant au sein et qu’entre les ministères.
Le président de la République juge que cette démarche est essentielle pour renforcer l’efficience et produire des résultats concrets, dans le délai fixé à chaque entité. «J’en appelle aussi à la généralisation du Management de la qualité dans l’ensemble des structures publiques et parapubliques. Nous devons faire progresser la culture de la qualité et viser la certification systématique de toutes nos procédures, qu’elles soient simples ou complexes. Telle est la condition pour garantir la continuité de l’État, qui dépasse les régimes et les personnes au pouvoir », a indiqué Bassirou Diomaye Faye.
Il a dans la même dynamique, souligné que le temps est également venu d’accélérer la transformation numérique de nos administrations. A son avis, la dématérialisation des formalités et leur accessibilité simplifiée représentent des gages de transparence et de bonne gouvernance. Le président Faye a demandé donc au Chef du gouvernement de lancer la réforme cruciale du système de gestion des finances publiques, en intégrant les systèmes d’information financière de l’État.
«Le 24 février 2025, je lancerai le New Deal technologique. Il nous permettra de bâtir un service public moderne, agile et tourné vers l’avenir. Parallèlement, j’encourage le Gouvernement à faire de l’innovation publique un levier d’efficacité et un vecteur de communication, à l’image du récent Gov’Aton », a-t-il dit.
Adou Faye