Selon le document, l’Arcop adopte une stratégie préventive visant à anticiper les difficultés liées à la commande publique dans le secteur de l’agriculture. L’objectif, explique-t-on, est d’assurer une meilleure préparation des projets agricoles afin d’éviter les retards et autres blocages qui risquent de compromettre les ambitions du gouvernement.
L’atelier récemment organisé par le ministère de l’Agriculture en collaboration avec l’Arcop a permis d’identifier les principaux obstacles à la réalisation des objectifs de souveraineté alimentaire du Sénégal. Le Directeur général de l’Arcop, Dr Moustapha Djité a confié qu’en ouvrant ce couloir de dialogue, sa structure a permis aux participants de réfléchir collectivement aux solutions possibles. L’idée, a expliqué Dr Djité, est de passer d’une agriculture dépendante des aléas climatiques à une agriculture plus résiliente, orientée vers l’agrobusiness et mieux adaptée aux réalités socio-économiques du pays. «Les conclusions de ces discussions devraient non seulement lever les incertitudes actuelles, mais aussi permettre de structurer une agriculture moderne, plus compétitive et capable de répondre aux besoins alimentaires des populations, notamment les plus vulnérables », a déclaré le patron de l’Arcop.
Selon Dr Moustapha Djité, puissant déterminant de l’efficacité de l’action de l’Etat, la commande publique définit sa stratégie d’approvisionnement en termes de services, de fournitures et de travaux suivant des procédures adaptées à sa structuration technique. Assurant ainsi le lien entre la mobilisation des ressources budgétaires et l’exécution de la dépense publique, a ajouté le directeur général, elle fixe les règles applicables à ces acquisitions, en impose le respect strict et détermine les acteurs et organes compétents pour en assurer une mise en œuvre diligente et un contrôle rigoureux.
Préférant la logique préventive à la logique palliative, l’Arcop entend s’inscrire dans une démarche de prise en charge précoce des difficultés de mise en œuvre des procédures de la commande publique en ouvrant un couloir de discussion et d’échange autour des projets publics pour en assurer une meilleure préparation, gage d’une réalisation réussie des objectifs de l’Etat.
Adou FAYE
L’atelier récemment organisé par le ministère de l’Agriculture en collaboration avec l’Arcop a permis d’identifier les principaux obstacles à la réalisation des objectifs de souveraineté alimentaire du Sénégal. Le Directeur général de l’Arcop, Dr Moustapha Djité a confié qu’en ouvrant ce couloir de dialogue, sa structure a permis aux participants de réfléchir collectivement aux solutions possibles. L’idée, a expliqué Dr Djité, est de passer d’une agriculture dépendante des aléas climatiques à une agriculture plus résiliente, orientée vers l’agrobusiness et mieux adaptée aux réalités socio-économiques du pays. «Les conclusions de ces discussions devraient non seulement lever les incertitudes actuelles, mais aussi permettre de structurer une agriculture moderne, plus compétitive et capable de répondre aux besoins alimentaires des populations, notamment les plus vulnérables », a déclaré le patron de l’Arcop.
Selon Dr Moustapha Djité, puissant déterminant de l’efficacité de l’action de l’Etat, la commande publique définit sa stratégie d’approvisionnement en termes de services, de fournitures et de travaux suivant des procédures adaptées à sa structuration technique. Assurant ainsi le lien entre la mobilisation des ressources budgétaires et l’exécution de la dépense publique, a ajouté le directeur général, elle fixe les règles applicables à ces acquisitions, en impose le respect strict et détermine les acteurs et organes compétents pour en assurer une mise en œuvre diligente et un contrôle rigoureux.
Préférant la logique préventive à la logique palliative, l’Arcop entend s’inscrire dans une démarche de prise en charge précoce des difficultés de mise en œuvre des procédures de la commande publique en ouvrant un couloir de discussion et d’échange autour des projets publics pour en assurer une meilleure préparation, gage d’une réalisation réussie des objectifs de l’Etat.
Adou FAYE