Selon la Direction de la prévision et des études économiques (Dpee), cette progression reflète, essentiellement, le renforcement de la valeur des achats à l’étranger de produits alimentaires (+10,5 milliards), de «véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles» (+5,7 milliards) et de « machines, appareils et moteurs » (+2,0 milliards).
En revanche, les importations de produits pétroliers se sont repliées (-27,5 milliards), du fait, essentiellement, des huiles brutes de pétrole (-28,9 milliards). Sur une base annuelle, les importations de biens ont baissé de 13,6 milliards en mars 2018, du fait, principalement, des produits pétroliers (-26,9 milliards) et des « machines, appareils et moteurs» (-12,6 milliards).
Cette évolution a été, cependant, atténuée par la consolidation des achats de produits alimentaires (+6,8 milliards) et de produits pharmaceutiques (+4,5 milliards).
En cumul sur les trois premiers mois de 2018, les importations de biens sont évaluées à 942,6 milliards contre 805,5 milliards un an auparavant, soit une hausse de 17% (+137,1 milliards), essentiellement imputable aux produits pétroliers (+32,8 milliards), aux «véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles» (+24,3 milliards), aux produits alimentaires (+17,6 milliards) et aux produits pharmaceutiques (+7,9 milliards). En revanche, les importations de « machines, appareils et moteurs » se sont contractées (-6,7 milliards), au premier trimestre 2018.
Pathé TOURE
En revanche, les importations de produits pétroliers se sont repliées (-27,5 milliards), du fait, essentiellement, des huiles brutes de pétrole (-28,9 milliards). Sur une base annuelle, les importations de biens ont baissé de 13,6 milliards en mars 2018, du fait, principalement, des produits pétroliers (-26,9 milliards) et des « machines, appareils et moteurs» (-12,6 milliards).
Cette évolution a été, cependant, atténuée par la consolidation des achats de produits alimentaires (+6,8 milliards) et de produits pharmaceutiques (+4,5 milliards).
En cumul sur les trois premiers mois de 2018, les importations de biens sont évaluées à 942,6 milliards contre 805,5 milliards un an auparavant, soit une hausse de 17% (+137,1 milliards), essentiellement imputable aux produits pétroliers (+32,8 milliards), aux «véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles» (+24,3 milliards), aux produits alimentaires (+17,6 milliards) et aux produits pharmaceutiques (+7,9 milliards). En revanche, les importations de « machines, appareils et moteurs » se sont contractées (-6,7 milliards), au premier trimestre 2018.
Pathé TOURE