Cette situation s’explique, notamment, par la diminution des achats à l’étranger de produits pétroliers (-36,7 milliards) et de « machines, appareils et moteurs » (-12,3 milliards). Pour ce qui est de la baisse des importations de produits pétroliers, elle est imputable aux huiles brutes de pétrole (-45,5 milliards).
Elle est, toutefois, atténuée par le renforcement des importations de produits pétroliers raffinés (+8,8 milliards). Au titre des importations de produits alimentaires une légère hausse de 0,8 milliard est enregistrée malgré, les diminutions respectives des achats de riz, de « froment et méteil» et de «fruits et légumes comestibles » de 3,3 milliards, 1,5 milliard et 1,3 milliard, en rythme mensuel.
Concernant les importations de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » une progression de 3,6 milliards ou 1,7% est notée sur la période. En glissement annuel, les importations de biens se sont inscrites en hausse de 28,8 milliards (+9,6%) au mois de novembre 2018. Cette orientation est portée, essentiellement, par la hausse des achats de produits pétroliers (+7,0 milliards) et, dans une moindre mesure, de «véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles» (+0,5 milliard).
En revanche, les importations de « machines, appareils et moteurs » et de produits alimentaires ont enregistré des baisses respectives de 10,7 milliards et 3,0 milliards sur la période. Sur les onze (11) premiers mois de 2018, les importations de biens sont évaluées à 3537,7 milliards contre 3224,4 milliards sur la même période en 2017, soit une progression de 313,3 milliards (+9,7%).
Cette évolution reflète, notamment, l’augmentation des achats de «véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles» (+66,7 milliards), de produits pétroliers (+128,1 milliards) et de produits pharmaceutiques (+11,9 milliards). En revanche, les importations de «machines, appareils et moteurs» et de produits alimentaires se sont respectivement repliées de 67,3 milliards et de 42,0 milliards.
Pathé Touré
Elle est, toutefois, atténuée par le renforcement des importations de produits pétroliers raffinés (+8,8 milliards). Au titre des importations de produits alimentaires une légère hausse de 0,8 milliard est enregistrée malgré, les diminutions respectives des achats de riz, de « froment et méteil» et de «fruits et légumes comestibles » de 3,3 milliards, 1,5 milliard et 1,3 milliard, en rythme mensuel.
Concernant les importations de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » une progression de 3,6 milliards ou 1,7% est notée sur la période. En glissement annuel, les importations de biens se sont inscrites en hausse de 28,8 milliards (+9,6%) au mois de novembre 2018. Cette orientation est portée, essentiellement, par la hausse des achats de produits pétroliers (+7,0 milliards) et, dans une moindre mesure, de «véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles» (+0,5 milliard).
En revanche, les importations de « machines, appareils et moteurs » et de produits alimentaires ont enregistré des baisses respectives de 10,7 milliards et 3,0 milliards sur la période. Sur les onze (11) premiers mois de 2018, les importations de biens sont évaluées à 3537,7 milliards contre 3224,4 milliards sur la même période en 2017, soit une progression de 313,3 milliards (+9,7%).
Cette évolution reflète, notamment, l’augmentation des achats de «véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles» (+66,7 milliards), de produits pétroliers (+128,1 milliards) et de produits pharmaceutiques (+11,9 milliards). En revanche, les importations de «machines, appareils et moteurs» et de produits alimentaires se sont respectivement repliées de 67,3 milliards et de 42,0 milliards.
Pathé Touré