chroniques
S’exprimant en marge de la cérémonie officielle du Maouloud de Médina Baye (commune de Kaolack), vendredi soir, M. Seck a indiqué qu’un fonds de 11,5 milliards de francs CFA avait déjà été mis en place pour acheter les graines d’arachide auprès des producteurs.
"L’Etat a institué un fonds de commercialisation de 11,5 milliards de francs CFA (…). Nous avons échangé avec le CNIA (Comité national interprofessionnel de l’arachide) pour avoir suffisamment de points de collecte et (…) respecter les prix" fixés, a-t-il souligné.
La campagne de commercialisation de l’arachide n’a pas encore connu des "manquements", selon M. Seck, qui dirigeait la délégation venue représenter le gouvernement au Maouloud de Médina Baye.
"La commercialisation de l’arachide a démarré le 29 décembre. (…) Donc il est très tôt de tirer des leçons ou de porter des jugements sur une campagne qui vient que démarrer", a-t-il répondu à des questions relatives à des "impairs" concernant cette campagne.
"Nous devons éviter de tirer des conclusions hâtives et imprudentes pour une campagne qui n’a pas encore une semaine d’existence", a insisté Papa Abdoulaye Seck.
Il précise que "des problèmes, il y en aura toujours". "Mais notre rôle est de tout faire pour trouver des solutions, avec la collaboration des populations du monde rural."
APS
"L’Etat a institué un fonds de commercialisation de 11,5 milliards de francs CFA (…). Nous avons échangé avec le CNIA (Comité national interprofessionnel de l’arachide) pour avoir suffisamment de points de collecte et (…) respecter les prix" fixés, a-t-il souligné.
La campagne de commercialisation de l’arachide n’a pas encore connu des "manquements", selon M. Seck, qui dirigeait la délégation venue représenter le gouvernement au Maouloud de Médina Baye.
"La commercialisation de l’arachide a démarré le 29 décembre. (…) Donc il est très tôt de tirer des leçons ou de porter des jugements sur une campagne qui vient que démarrer", a-t-il répondu à des questions relatives à des "impairs" concernant cette campagne.
"Nous devons éviter de tirer des conclusions hâtives et imprudentes pour une campagne qui n’a pas encore une semaine d’existence", a insisté Papa Abdoulaye Seck.
Il précise que "des problèmes, il y en aura toujours". "Mais notre rôle est de tout faire pour trouver des solutions, avec la collaboration des populations du monde rural."
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