«Les pays les moins avancés ont connu des progrès significatifs et recèlent de ressources naturelles et humaines d'une importance potentiellement capitale pour le monde, mais nous devons faire davantage pour les soutenir», a déclaré le Haut-Représentant de l'ONU pour les pays les PMA, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement, Gyan Chandra Acharya, lors d'une conférence de presse dans la ville côtière.
Selon lui, cet événement est l'occasion pour la communauté internationale de se réunir et de réaffirmer les engagements mondiaux qui ont été pris en 2011 pour veiller à ce que les nations les plus pauvres du monde soient à l'avant-garde des efforts visant à construire un avenir inclusif et durable pour le monde.
En effet, il y a cinq ans, les États membres de l'ONU se sont rencontrés en Turquie et ont adopté le Programme d'action d'Istanbul (PAI) en faveur des PMA, un plan sur 10 ans visant à donner une impulsion au développement économique et social dans certains des États les plus vulnérables du monde.
Cet événement de trois jours mettra l'accent sur les progrès accomplis par les PMA dans des domaines tels que la réduction de la pauvreté, la mortalité infantile, la parité entre les sexes et l'accès aux réseaux Internet et mobiles et la croissance économique.
«C'est l'occasion de mettre l'accent sur les besoins spécifiques des PMA, et d'évaluer l'état de mise en œuvre du PAI, en tenant compte des importants programmes mondiaux conclus l'an dernier, y compris le Programme à l'horizon 2030 et ses objectifs de développement durable (ODD )», a déclaré de son côté l'Administratrice du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), Helen Clark, lors de la séance d'ouverture de la conférence.
Selon l'ONU, la liste actuelle des PMA compte 48 pays, dont 34 en Afrique, 13 en Asie-Pacifique, et un en Amérique latine. Le pays le plus récent à avoir intégré cette liste est le Soudan du Sud. Samoa est le seul pays à être sorti de cette liste depuis 2011. Depuis mars 2015, sept autres PMA (Bhoutan, Kiribati, Népal, Sao Tomé-et-Principe, Îles Salomon, Timor-Leste et Tuvalu) remplissent les critères leur permettant de sortir de cette liste. La Guinée équatoriale, le Vanuatu et l'Angola seraient également sur le point de satisfaire ces critères.
Pathé TOURE
Selon lui, cet événement est l'occasion pour la communauté internationale de se réunir et de réaffirmer les engagements mondiaux qui ont été pris en 2011 pour veiller à ce que les nations les plus pauvres du monde soient à l'avant-garde des efforts visant à construire un avenir inclusif et durable pour le monde.
En effet, il y a cinq ans, les États membres de l'ONU se sont rencontrés en Turquie et ont adopté le Programme d'action d'Istanbul (PAI) en faveur des PMA, un plan sur 10 ans visant à donner une impulsion au développement économique et social dans certains des États les plus vulnérables du monde.
Cet événement de trois jours mettra l'accent sur les progrès accomplis par les PMA dans des domaines tels que la réduction de la pauvreté, la mortalité infantile, la parité entre les sexes et l'accès aux réseaux Internet et mobiles et la croissance économique.
«C'est l'occasion de mettre l'accent sur les besoins spécifiques des PMA, et d'évaluer l'état de mise en œuvre du PAI, en tenant compte des importants programmes mondiaux conclus l'an dernier, y compris le Programme à l'horizon 2030 et ses objectifs de développement durable (ODD )», a déclaré de son côté l'Administratrice du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), Helen Clark, lors de la séance d'ouverture de la conférence.
Selon l'ONU, la liste actuelle des PMA compte 48 pays, dont 34 en Afrique, 13 en Asie-Pacifique, et un en Amérique latine. Le pays le plus récent à avoir intégré cette liste est le Soudan du Sud. Samoa est le seul pays à être sorti de cette liste depuis 2011. Depuis mars 2015, sept autres PMA (Bhoutan, Kiribati, Népal, Sao Tomé-et-Principe, Îles Salomon, Timor-Leste et Tuvalu) remplissent les critères leur permettant de sortir de cette liste. La Guinée équatoriale, le Vanuatu et l'Angola seraient également sur le point de satisfaire ces critères.
Pathé TOURE