« Ces journées de réflexion stratégique permettront au gouvernement bissau-guinéen et au Groupe de la Banque mondiale de discuter des défis et perspectives de développement qui devront être intégrés au Plan national stratégique et opérationnel 2015-2020 ainsi qu’au mémorandum économique de la Banque mondiale pour la Guinée-Bissau » signale le communiqué. Les discussions porteront également sur l’action de la Société financière internationale (IFC) auprès du secteur privé.
La Banque mondiale, qui exposera ses travaux sur le mémorandum économique, fournira au gouvernement un panorama de la situation macroéconomique du pays et présentera ses solutions pour réduire l’extrême pauvreté et favoriser les perspectives économiques.
« Il existe aujourd’hui une fenêtre de tir historique pour briser le cercle vicieux de l’instabilité et de la pauvreté en Guinée-Bissau » indique Vera Songwe, directrice des opérations de la Banque mondiale pour la Guinée-Bissau. Elle ajoute qu’en investissant simultanément dans le renforcement de la gouvernance et dans la création des conditions propices à l’émergence d’une croissance tirée par le secteur privé, on contribuera à poser les fondations d’un avenir meilleur pour tous. Le Groupe de la Banque mondiale est résolu, selon elle, à accompagner les aspirations des Bissau-Guinéens et leur volonté de lutter contre la pauvreté et de surmonter les obstacles au développement.
Il s’agira, pour les hauts fonctionnaires du gouvernement et pour l’équipe de la Banque mondiale, d’examiner ensemble les grandes priorités de développement du pays et la mise en place d’un cadre de responsabilité qui sera indispensable pour renforcer l’exécution, la coordination et le suivi des programmes de développement.
Dans le sillage de la prochaine table ronde des donateurs, l’IFC se tiendra prête, estime-t-on au niveau de la Banque, à réintroduire en Guinée-Bissau des projets axés sur des secteurs prometteurs comme l’industrie agroalimentaire et l’électricité.
« L’IFC est déterminée à soutenir les efforts entrepris par la Guinée-Bissau pour attirer les opérateurs privés, accroître l’accès aux financements et développer ainsi un secteur privé dynamique et solide, affirme Jérôme Cretegny, représentant régional de l’IFC pour la Guinée-Bissau. Selon lui, l’amélioration du climat de l’investissement répondra à une priorité majeure du gouvernement en favorisant la croissance du secteur privé et la création d’emplois.
Elaj Diakhate
La Banque mondiale, qui exposera ses travaux sur le mémorandum économique, fournira au gouvernement un panorama de la situation macroéconomique du pays et présentera ses solutions pour réduire l’extrême pauvreté et favoriser les perspectives économiques.
« Il existe aujourd’hui une fenêtre de tir historique pour briser le cercle vicieux de l’instabilité et de la pauvreté en Guinée-Bissau » indique Vera Songwe, directrice des opérations de la Banque mondiale pour la Guinée-Bissau. Elle ajoute qu’en investissant simultanément dans le renforcement de la gouvernance et dans la création des conditions propices à l’émergence d’une croissance tirée par le secteur privé, on contribuera à poser les fondations d’un avenir meilleur pour tous. Le Groupe de la Banque mondiale est résolu, selon elle, à accompagner les aspirations des Bissau-Guinéens et leur volonté de lutter contre la pauvreté et de surmonter les obstacles au développement.
Il s’agira, pour les hauts fonctionnaires du gouvernement et pour l’équipe de la Banque mondiale, d’examiner ensemble les grandes priorités de développement du pays et la mise en place d’un cadre de responsabilité qui sera indispensable pour renforcer l’exécution, la coordination et le suivi des programmes de développement.
Dans le sillage de la prochaine table ronde des donateurs, l’IFC se tiendra prête, estime-t-on au niveau de la Banque, à réintroduire en Guinée-Bissau des projets axés sur des secteurs prometteurs comme l’industrie agroalimentaire et l’électricité.
« L’IFC est déterminée à soutenir les efforts entrepris par la Guinée-Bissau pour attirer les opérateurs privés, accroître l’accès aux financements et développer ainsi un secteur privé dynamique et solide, affirme Jérôme Cretegny, représentant régional de l’IFC pour la Guinée-Bissau. Selon lui, l’amélioration du climat de l’investissement répondra à une priorité majeure du gouvernement en favorisant la croissance du secteur privé et la création d’emplois.
Elaj Diakhate