Il s’exprimait lors de la première revue annuelle conjointe de la coopération Italie-Sénégal. Le ministre a tout d’abord évoqué la Plateforme d’appui au secteur privé et de la valorisation de la diaspora sénégalaise en Italie (PLASEPRI). « Ce projet nous a aidé à promouvoir l’entreprenariat privé, le développement de PME et de la microfinance par le biais du financement des initiatives portées par des Sénégalais résident notamment en Italie », a laissé entendre le ministre. Figure également à l’actif de la coopération italienne le projet d’appui au programme national d’investissement agricole (PAPSEN-PNIA). Dans le domaine du développement local, M. Bâ a souligné la programme connaissance innovatrice et développement local (CIDEL). Au point de vue social, il a mis en exergue le Programme intégré de développement économique et social (PIDES) ainsi que le Projet d’appui à l’éducation des filles (PAEF).
Sur un autre registre, le ministre s’est réjoui des opportunités offertes par la coopération décentralisée italienne à la fois sur le plan financier, technique et scientifique. « Cette forme de coopération a facilité les interventions des territoires italiens ainsi que l’instauration de rapport de collaboration continus avec les acteurs locaux sénégalais », affirme le ministre. M. Bâ s’est aussi félicité de l’heureuse coïncidence entre les besoins prioritaire du Sénégal et les objectifs de la politique d’aide italienne définis par une nouvelle loi promulguée en août 2014. « Elle cible prioritairement la satisfaction des besoins humains fondamentaux, l’autosuffisance alimentaire, la valorisation des ressources humaines, la protection de l’environnement et la promotion d’un développement économique, social et culturel autonome », avance le ministre.
El Hadj Diakhaté
Sur un autre registre, le ministre s’est réjoui des opportunités offertes par la coopération décentralisée italienne à la fois sur le plan financier, technique et scientifique. « Cette forme de coopération a facilité les interventions des territoires italiens ainsi que l’instauration de rapport de collaboration continus avec les acteurs locaux sénégalais », affirme le ministre. M. Bâ s’est aussi félicité de l’heureuse coïncidence entre les besoins prioritaire du Sénégal et les objectifs de la politique d’aide italienne définis par une nouvelle loi promulguée en août 2014. « Elle cible prioritairement la satisfaction des besoins humains fondamentaux, l’autosuffisance alimentaire, la valorisation des ressources humaines, la protection de l’environnement et la promotion d’un développement économique, social et culturel autonome », avance le ministre.
El Hadj Diakhaté