En effet, la performance macroéconomique solide s’est poursuivie dans la première moitié de l’année et la croissance du PIB réel est projetée à environ 8 pour cent pour l'année 2016. Le déficit budgétaire devrait se creuser à 4 pour cent du PIB en 2016, reflétant une augmentation des dépenses, y compris pour la sécurité, la santé et l'éducation.
De même, la croissance économique devrait demeurer forte et est projetée à 7,7% en moyenne sur la période 2017-19, reflétant le dynamisme de la demande intérieure. L’inflation devrait demeurer inférieure à 3%, tandis que l’augmentation des importations liées à l’investissement devrait contribuer à un accroissement du déficit du compte courant de la balance des paiements à de 2,5 percent of GDP.
Afin de préserver la viabilité de la dette publique et soutenir les réserves internationales de l’UEMOA, note-le communiqué, le déficit budgétaire de l’Etat devrait converger vers la norme communautaire de 3% du PIB d’ici à 2019. A cet effet, la mission et les autorités ont convenu du besoin de renforcer la mobilisation des recettes, y compris par la poursuite des réformes d’administration fiscale mais aussi des mesures de politique fiscale visant à élargir l’assiette fiscale, et de contenir les dépenses récurrentes afin de créer les marges nécessaires pour les dépenses sociales et d’infrastructure.
La mission a accueilli favorablement des mesures destinées à améliorer la gestion des finances publiques, ainsi que la gestion de la dette publique, y compris à travers la mise en place d’une base complète de données permettant de suivre l’évolution des emprunts contractés par des entités publiques autres que l’Etat.
Pathé TOURE
De même, la croissance économique devrait demeurer forte et est projetée à 7,7% en moyenne sur la période 2017-19, reflétant le dynamisme de la demande intérieure. L’inflation devrait demeurer inférieure à 3%, tandis que l’augmentation des importations liées à l’investissement devrait contribuer à un accroissement du déficit du compte courant de la balance des paiements à de 2,5 percent of GDP.
Afin de préserver la viabilité de la dette publique et soutenir les réserves internationales de l’UEMOA, note-le communiqué, le déficit budgétaire de l’Etat devrait converger vers la norme communautaire de 3% du PIB d’ici à 2019. A cet effet, la mission et les autorités ont convenu du besoin de renforcer la mobilisation des recettes, y compris par la poursuite des réformes d’administration fiscale mais aussi des mesures de politique fiscale visant à élargir l’assiette fiscale, et de contenir les dépenses récurrentes afin de créer les marges nécessaires pour les dépenses sociales et d’infrastructure.
La mission a accueilli favorablement des mesures destinées à améliorer la gestion des finances publiques, ainsi que la gestion de la dette publique, y compris à travers la mise en place d’une base complète de données permettant de suivre l’évolution des emprunts contractés par des entités publiques autres que l’Etat.
Pathé TOURE