
« Cette année, nous visons une croissance à deux chiffres. Nous voulons faire de la Côte d'Ivoire dans un pays émergent à l’horizon 2020, et nous ne pouvons pas atteindre cet objectif que si nous aurons une croissance à deux chiffres d’ici là », a-t-il déclaré à l’agence Reuters le 16 mars.
« Au regard du taux moyen de croissance annuel moyen de 9 % que nous avons réalisé entre 2012 et 2014, cet objectif d’une croissance à deux chiffre apparaît réalisable », a-t-il ajouté.
Locomotive économique de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), la Côte d’Ivoire avait levé fin février un milliard de dollars sur les marchés internationaux grâce à un eurobond, dont le livre d’ordres de l’emprunt a dépassé les 4 milliards de dollars.
Le premier producteur mondial de cacao cherche de nouveau à lever un milliard de dollars sur le marché international de la dette cette année et négocie l’émission de son premier sukuk avec la Banque islamique de développement (BID).
Ecofin
« Au regard du taux moyen de croissance annuel moyen de 9 % que nous avons réalisé entre 2012 et 2014, cet objectif d’une croissance à deux chiffre apparaît réalisable », a-t-il ajouté.
Locomotive économique de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), la Côte d’Ivoire avait levé fin février un milliard de dollars sur les marchés internationaux grâce à un eurobond, dont le livre d’ordres de l’emprunt a dépassé les 4 milliards de dollars.
Le premier producteur mondial de cacao cherche de nouveau à lever un milliard de dollars sur le marché international de la dette cette année et négocie l’émission de son premier sukuk avec la Banque islamique de développement (BID).
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