Dans ladite déclaration, elle a tenu à remercier tous les gouvernements et peuples qui ont soutenu sa candidature durant cette compétition mais aussi les différents candidats qui ont pris part à ce processus démocratique et transparent qui a permis à l'Afrique de montrer la voie à suivre. C'est une victoire de l'Afrique.
Pour l’ancienne candidate au poste de président de la BAD, il est maintenant temps de retourner au travail et tant que pan-Africaniste, elle continuera d'être engagée dans les causes de la Bad et à contribuer dans la limite de ses capacités pour soutenir son nouveau Président ainsi qu'à pousser pour les nécessaires réformes de nature à assurer à notre banque le statut de catalyseur pour la transformation de l'Afrique.
Mais pour cela, pense Madane Cristina Duarte, cela nécessitera que nous renforcions les progrès réalisés au cours de 50 dernières années tout en prenant en compte les enjeux émergents. A cet égard, nous devons bâtir une banque fondée sur le mérite, en ayant une concentration intense sur les résultats et l'impact du développement, l'efficacité et l'efficience autant qu'un dialogue relevé et la provision de conseil de qualité aux gouvernements africains. La Banque africaine de développement doit devenir innovante et nous devons nous appuyer sur la capacité de la banque à être une force de mutualisation des capacités des partenaires et des parties-prenantes, y compris les gouvernements africains, les agences de développement, et les partenaires du secteur privé, des banques commerciales et de la société civile.
Selon la ministre des finances et du plan du Cap-Vert, il s'agit ensemble de faire face aux grands défis de notre temps concernant l'intégration régionale, le renforcement du statut des femmes, la promotion de la science et de la technologie, les questions d'insularité, le changement climatique ou la fragilité des Etats. Pour conclure, elle ajoute que notre agenda doit viser à mettre fin à la gestion de la pauvreté pour se concentrer sur la création et la meilleure gestion des richesses en Afrique.
Kine SEYE
Pour l’ancienne candidate au poste de président de la BAD, il est maintenant temps de retourner au travail et tant que pan-Africaniste, elle continuera d'être engagée dans les causes de la Bad et à contribuer dans la limite de ses capacités pour soutenir son nouveau Président ainsi qu'à pousser pour les nécessaires réformes de nature à assurer à notre banque le statut de catalyseur pour la transformation de l'Afrique.
Mais pour cela, pense Madane Cristina Duarte, cela nécessitera que nous renforcions les progrès réalisés au cours de 50 dernières années tout en prenant en compte les enjeux émergents. A cet égard, nous devons bâtir une banque fondée sur le mérite, en ayant une concentration intense sur les résultats et l'impact du développement, l'efficacité et l'efficience autant qu'un dialogue relevé et la provision de conseil de qualité aux gouvernements africains. La Banque africaine de développement doit devenir innovante et nous devons nous appuyer sur la capacité de la banque à être une force de mutualisation des capacités des partenaires et des parties-prenantes, y compris les gouvernements africains, les agences de développement, et les partenaires du secteur privé, des banques commerciales et de la société civile.
Selon la ministre des finances et du plan du Cap-Vert, il s'agit ensemble de faire face aux grands défis de notre temps concernant l'intégration régionale, le renforcement du statut des femmes, la promotion de la science et de la technologie, les questions d'insularité, le changement climatique ou la fragilité des Etats. Pour conclure, elle ajoute que notre agenda doit viser à mettre fin à la gestion de la pauvreté pour se concentrer sur la création et la meilleure gestion des richesses en Afrique.
Kine SEYE