Selon l’Ansd, au premier trimestre de l’année 2019, le Produit Intérieur Brut (PIB) en volume, corrigé des variations saisonnières (CVS), s’est accru de 0,4 % par rapport au trimestre précédent. «Ce résultat est imputable à la croissance modérée du secteur tertiaire (+1,5%) qui représente plus de 50% du PIB. Cependant, la croissance économique a été amoindrie par le repli du secteur secondaire (-1,4%). En outre, le secteur primaire a stagné au cours de la même période.
S’agissant des taxes nettes de subventions sur les produits, elles ont reculé de 0,3% sur la période sous-revue », lit-on dans le document parcouru par le Journal de l’économie sénégalaise (Lejecos). Le document renseigne que la stagnation du secteur primaire résulte de la compensation de la bonne orientation du sous-secteur de l’élevage (+6,0%) par les baisses des valeurs ajoutées de l’agriculture (-2,1%) et de la pêche (-0,6%).
Comparée au premier trimestre de 2018, poursuit le document, la valeur ajoutée du secteur primaire, en volume, a progressé de 9,3% reflétant la bonne tenue de l’activité de la totalité des sous-secteurs.
Le fléchissement noté dans le secteur secondaire est essentiellement lié aux baisses d’activités enregistrées dans les sous-secteurs de la construction (-12,8%), de fabrication de produits agro-alimentaires (-1,7%) et des autres produits manufacturiers (-0,5%). Cependant, il est noté une croissance de la valeur ajoutée des extractives (+7,3%) et de celle des activités chimiques (+2,5%).
En glissement annuel, l’activité du secteur secondaire s’est accrue de 5,3% en liaison notamment avec la bonne tenue de la production agro-alimentaire (+8,8%) et des autres produits manufacturiers (+3,8%).
Selon l’Ansd, la croissance du tertiaire est expliquée notamment par le relèvement de 6,2% de la valeur ajoutée des services aux entreprises et de 2,5% de celle de l’administration publique. Sur la même période, la valeur ajoutée du commerce a également augmenté de 0,2%.
Adou FAYE
S’agissant des taxes nettes de subventions sur les produits, elles ont reculé de 0,3% sur la période sous-revue », lit-on dans le document parcouru par le Journal de l’économie sénégalaise (Lejecos). Le document renseigne que la stagnation du secteur primaire résulte de la compensation de la bonne orientation du sous-secteur de l’élevage (+6,0%) par les baisses des valeurs ajoutées de l’agriculture (-2,1%) et de la pêche (-0,6%).
Comparée au premier trimestre de 2018, poursuit le document, la valeur ajoutée du secteur primaire, en volume, a progressé de 9,3% reflétant la bonne tenue de l’activité de la totalité des sous-secteurs.
Le fléchissement noté dans le secteur secondaire est essentiellement lié aux baisses d’activités enregistrées dans les sous-secteurs de la construction (-12,8%), de fabrication de produits agro-alimentaires (-1,7%) et des autres produits manufacturiers (-0,5%). Cependant, il est noté une croissance de la valeur ajoutée des extractives (+7,3%) et de celle des activités chimiques (+2,5%).
En glissement annuel, l’activité du secteur secondaire s’est accrue de 5,3% en liaison notamment avec la bonne tenue de la production agro-alimentaire (+8,8%) et des autres produits manufacturiers (+3,8%).
Selon l’Ansd, la croissance du tertiaire est expliquée notamment par le relèvement de 6,2% de la valeur ajoutée des services aux entreprises et de 2,5% de celle de l’administration publique. Sur la même période, la valeur ajoutée du commerce a également augmenté de 0,2%.
Adou FAYE