« Diversifier les chaînes de valeur mondiales, accroître le commerce des services et développer le commerce des énergies renouvelables et des minéraux essentiels pour les technologies liées au climat peut permettre de créer de nouvelles perspectives pour les économies à revenu faible ou intermédiaire. Il est crucial de remédier aux coûts élevés du commerce des services, de combler la fracture numérique et de s’attaquer aux problèmes de capacités réglementaires et de conformité pour que les économies à revenu faible ou intermédiaire tirent pleinement parti de ces possibilités », note l’Omc dans le rapport.
Selon l’organisation, améliorer l’accès des économies à faible revenu aux marchés des économies à revenu élevé et des économies émergentes, y compris en remédiant à la progressivité des droits sur les produits transformés et aux subventions ayant des effets de distorsion des échanges, peut aussi soutenir la croissance économique dans un monde où une part croissante du commerce se fait entre les économies en développement. Toutefois, il faut aussi remédier aux obstacles au commerce découlant d’infrastructures nationales insuffisantes institutionnels.
L’Omc souligne que la politique commerciale doit être complétée par des politiques qui soutiennent la transformation structurelle et l’absorption des technologies. Par exemple, explique l’organisation, ces politiques peuvent avoir pour but de créer un environnement économique propice aux investissements nationaux et étrangers, ou de résoudre des problèmes commerciaux spécifiques et de mettre en œuvre de nouvelles politiques, comme dans le cas des zones économiques spéciales (Zes). L’absorption des technologies, y compris le processus interne d’acquisition, de développement et d’utilisation des capacités technologiques, peut être améliorée grâce à des politiques de recherche et d’éducation.
D’autres politiques complémentaires peuvent selon l’Omc, combler le manque d’information entre les secteurs privé et public, ou entre les sociétés locales et les sociétés étrangères, et permettre de mieux faire connaître les nouvelles possibilités de commerce et d’investissement.
L’inclusion entre les économies peut favoriser l’inclusion à l’intérieur des économies, et inversement. Faire en sorte que les avantages de la croissance économique, y compris l’ouverture commerciale, sont plus largement répartis, aide à établir une classe moyenne stable et relativement prospère, ce qui peut contribuer à soutenir le processus global de développement dans une économie en favorisant la consommation intérieure et en encourageant l’activité entrepreneuriale, la diversification économique et la stabilité sociale. Ce processus de développement, fait savoir l’Omc, contribue ensuite à une croissance économique à long terme et à une réduction durable de la pauvreté.
Adou FAYE
Selon l’organisation, améliorer l’accès des économies à faible revenu aux marchés des économies à revenu élevé et des économies émergentes, y compris en remédiant à la progressivité des droits sur les produits transformés et aux subventions ayant des effets de distorsion des échanges, peut aussi soutenir la croissance économique dans un monde où une part croissante du commerce se fait entre les économies en développement. Toutefois, il faut aussi remédier aux obstacles au commerce découlant d’infrastructures nationales insuffisantes institutionnels.
L’Omc souligne que la politique commerciale doit être complétée par des politiques qui soutiennent la transformation structurelle et l’absorption des technologies. Par exemple, explique l’organisation, ces politiques peuvent avoir pour but de créer un environnement économique propice aux investissements nationaux et étrangers, ou de résoudre des problèmes commerciaux spécifiques et de mettre en œuvre de nouvelles politiques, comme dans le cas des zones économiques spéciales (Zes). L’absorption des technologies, y compris le processus interne d’acquisition, de développement et d’utilisation des capacités technologiques, peut être améliorée grâce à des politiques de recherche et d’éducation.
D’autres politiques complémentaires peuvent selon l’Omc, combler le manque d’information entre les secteurs privé et public, ou entre les sociétés locales et les sociétés étrangères, et permettre de mieux faire connaître les nouvelles possibilités de commerce et d’investissement.
L’inclusion entre les économies peut favoriser l’inclusion à l’intérieur des économies, et inversement. Faire en sorte que les avantages de la croissance économique, y compris l’ouverture commerciale, sont plus largement répartis, aide à établir une classe moyenne stable et relativement prospère, ce qui peut contribuer à soutenir le processus global de développement dans une économie en favorisant la consommation intérieure et en encourageant l’activité entrepreneuriale, la diversification économique et la stabilité sociale. Ce processus de développement, fait savoir l’Omc, contribue ensuite à une croissance économique à long terme et à une réduction durable de la pauvreté.
Adou FAYE