Il a ajouté qu’il compte rencontrer les journalistes pour informer l’opinion « de l’effectivité des paiements de toutes les factures, preuves à l’appui ». Il a précisé que sur instruction du Premier ministre, ses services sont en train de procéder à un audit de la dette au titre de la campagne agricole 2023-2024 pour confirmer les factures soumises à validation pour apurement. « Aujourd’hui, dit-il, l’urgence est de payer les 41 milliards et de présider la commission pour dépouiller les appels d’offres pour la campagne 2024. On a tenu la semaine dernière une réunion interministérielle avec mon collègue des Forces armées pour constituer les commissions et prendre toutes les dispositions pour livrer les intrants agricoles (semences et engrais) », a fait savoir Mabouba Diagne.
Lors du conseil interministériel, tenu le vendredi 03 mai, le Premier ministre Ousmane Sonko avait demandé à ce que les dettes dues aux opérateurs pour les campagnes 2021, 2022, 2023 soient soldées au plus tard le 10 mai 2024 et un audit de la dette de la campagne agricole 2023-2024 ainsi qu’un plan d’apurement de cette dette validée.
Toujours dans ce registre, le Premier ministre souhaitait des concertations entre les opérateurs, les banques et l’administration fiscale « en vue de trouver des solutions à l’impact des retards de paiement de la dette de l’Etat aux opérateurs en termes d’intérêts de retard imputés par les banques et de pénalités sur le recouvrement des impôts et taxes dus ».
Adou FAYE
Lors du conseil interministériel, tenu le vendredi 03 mai, le Premier ministre Ousmane Sonko avait demandé à ce que les dettes dues aux opérateurs pour les campagnes 2021, 2022, 2023 soient soldées au plus tard le 10 mai 2024 et un audit de la dette de la campagne agricole 2023-2024 ainsi qu’un plan d’apurement de cette dette validée.
Toujours dans ce registre, le Premier ministre souhaitait des concertations entre les opérateurs, les banques et l’administration fiscale « en vue de trouver des solutions à l’impact des retards de paiement de la dette de l’Etat aux opérateurs en termes d’intérêts de retard imputés par les banques et de pénalités sur le recouvrement des impôts et taxes dus ».
Adou FAYE