« L’objectif est de poursuivre le chemin de croissance tracé dans le Plan Sénégal émergent (PSE) en consolidant en 2016 le taux de croissance de 6,6% pour atteindre 6,8% en 2017 et 7% en 2018-2019 », a notamment affirmé le ministre des finances.
Selon M. Bâ, le document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle (DPBEP) 2017-2019 entend accélérer la cadence dans la mise en œuvre des projets dans le domaine de l’énergie, de l’agriculture, du tourisme, des mines, des infrastructures et ceux retenus dans le cadre du nouveau pôle urbain de Diamniadio. « Le tout se fera dans un élan de maitrise de l’inflation et de poursuite de la réduction des déficits du solde des transactions courantes de la balance des paiements et du solde budgétaire », a souligné le ministre.
Par ailleurs, il est d’avis que le cadrage budgétaire à moyen terme devra désormais tenir compte des innovations apportées par le nouveau cadre harmonisé de gestion des finances publiques de l’UEMOA (budget programme). « Par conséquent, l’utilisation optimale des ressources sera de mise », avance M. Bâ. Celles-ci sont projetées sur la période 2017-2019 à 9853,75 milliards FCFA, soit une augmentation de 500 milliards FCFA par rapport au DPBEP 2016-2018. Concernant l’année 2017, le ministre révèle que les ressources devront franchir la barre des 3131 milliards FCFA.
El Hadj Diakhaté
Selon M. Bâ, le document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle (DPBEP) 2017-2019 entend accélérer la cadence dans la mise en œuvre des projets dans le domaine de l’énergie, de l’agriculture, du tourisme, des mines, des infrastructures et ceux retenus dans le cadre du nouveau pôle urbain de Diamniadio. « Le tout se fera dans un élan de maitrise de l’inflation et de poursuite de la réduction des déficits du solde des transactions courantes de la balance des paiements et du solde budgétaire », a souligné le ministre.
Par ailleurs, il est d’avis que le cadrage budgétaire à moyen terme devra désormais tenir compte des innovations apportées par le nouveau cadre harmonisé de gestion des finances publiques de l’UEMOA (budget programme). « Par conséquent, l’utilisation optimale des ressources sera de mise », avance M. Bâ. Celles-ci sont projetées sur la période 2017-2019 à 9853,75 milliards FCFA, soit une augmentation de 500 milliards FCFA par rapport au DPBEP 2016-2018. Concernant l’année 2017, le ministre révèle que les ressources devront franchir la barre des 3131 milliards FCFA.
El Hadj Diakhaté