Au-delà de l’enthousiasme que pourraient générer les acquis fort importants relevés dans la mise en œuvre de la Pau, Boukary Savadogo a dit que la dégradation continue de la situation alimentaire dans l’Union nous interpelle et nous invite à plus de réflexions en vue de proposer des orientations qui permettront d’améliorer réellement les systèmes alimentaires.
Dans cette perspective, il a ajouté que des propositions pertinentes ont été faites en matière de nouvelles orientations. Il s’agit, d’après lui, de la mise en place et l’opérationnalisation de mécanismes de sécurisation foncière pour inciter les investissements dans le secteur agricole ; de l’amélioration de la productivité agricole à travers, notamment, le renforcement des aménagements hydroagricoles, la maitrise de l’eau pour l’agriculture, la mise à disposition d’intrants agricoles de qualité, le développement et la mise à l’échelle de technologies agricoles adaptées aux réalités de la région (mécanisation, sélection variétale, etc.).
Il a cité aussi , parmi leurs propositions, l’amélioration du cadre institutionnel et la mise en place d’arrangements adéquats pour un meilleur portage de la Politique en vue d’une mobilisation plus efficace, notamment des Institutions spécialisées de l’Union, à savoir, la Bceao et la Banque Ouest africaine de développement (Boad) dans l’accompagnement des interventions agricoles ; et enfin l’opérationnalisation d’instruments financiers spécifiques pour le financement du secteur agricole aux niveaux national et régional.
Bassirou MBAYE, envoyé spécial à Ouagadougou
Dans cette perspective, il a ajouté que des propositions pertinentes ont été faites en matière de nouvelles orientations. Il s’agit, d’après lui, de la mise en place et l’opérationnalisation de mécanismes de sécurisation foncière pour inciter les investissements dans le secteur agricole ; de l’amélioration de la productivité agricole à travers, notamment, le renforcement des aménagements hydroagricoles, la maitrise de l’eau pour l’agriculture, la mise à disposition d’intrants agricoles de qualité, le développement et la mise à l’échelle de technologies agricoles adaptées aux réalités de la région (mécanisation, sélection variétale, etc.).
Il a cité aussi , parmi leurs propositions, l’amélioration du cadre institutionnel et la mise en place d’arrangements adéquats pour un meilleur portage de la Politique en vue d’une mobilisation plus efficace, notamment des Institutions spécialisées de l’Union, à savoir, la Bceao et la Banque Ouest africaine de développement (Boad) dans l’accompagnement des interventions agricoles ; et enfin l’opérationnalisation d’instruments financiers spécifiques pour le financement du secteur agricole aux niveaux national et régional.
Bassirou MBAYE, envoyé spécial à Ouagadougou