C’est dans ce cadre que s’inscrit cette rencontre de partage avec les Partenaires techniques et financiers du rapport provisoire portant sur le diagnostic et la stratégie de la deuxième phase du PSE. Cet exercice, qui a débuté depuis décembre 2017, s’est appuyé sur l’expertise des différentes parties prenantes pour prendre en compte les mutations actuelles de l’environnement national et international en vue de mettre en place les réformes et projets les plus appropriés pour inscrire notre pays sur la trajectoire de l’émergence. La rencontre a été présidée par Pierre Ndiaye, directeur général de la planification et des politiques économiques. « La tenue de ce présent atelier a pour objet de vous écouter et comprendre les préoccupations de nos partenaires pour une meilleure implication dans la phase Il du PSE en vue de renforcer nos performances économiques, gage d'un développement solide, stable et de cohésion sociale », a déclaré M. Ndiaye. Il a rappelé les rencontres initiées avec les différentes catégories d'acteurs (secteur privé, société civile, élus et universitaires) au cours de la semaine du 23 au 26 juillet dernier. Cette démarche participative et inclusive, explique-t-il, est un des fondamentaux ayant marqué l'élaboration, puis la mise en œuvre du Programme d'Actions Prioritaires 2014-2018 du Pse. Selon lui, depuis son adoption en février 2014, le Pse a permis d'enregistrer des progrès significatifs. «En effet, il a été noté, au-delà du relèvement substantiel de la croissance économique et de la réduction progressive du déficit budgétaire, des efforts constants pour améliorer les conditions de vie des populations, notamment pour les couches les plus vulnérables (CMU, PNBSF, PUDC, etc.) », affirme-t-il.
Adou Faye
Adou Faye