Selon ces organisations, les résultats issus de l’élection présidentielle du dimanche 24 mars 2024 marquent de manière historique l’entrée du Sénégal dans une « nouvelle ère ». Selon ces organisations, l’arrivée à la tête du pays du Bassirou Diomaye Diakhar Faye, porteur d’un « Projet » assez ambitieux entrainera de grandes disruptions sur toutes les composantes socio-économiques de notre nation.
«Le secteur du numérique bénéficie d’une place prépondérante dans les différentes articulations du « Projet » pour une accélération de la croissance et du développement du Sénégal sur tous les aspects économiques avec un fort impact social », lit-on dans le document. Ainsi, ces orientations majeures interpellent et invitent les acteurs de l’écosystème à opérer un changement de mentalité, de posture et à redéfinir les priorités et les modalités de mise en œuvre opérationnelle.
En conséquence, le personnel de Sonatel, à travers toutes les organisations sociales internes fortement représentées par le Syts, le Sntpt, l’Acson, l’Afson, l’Anars et l’Asc Sonatel, assume pleinement son rôle avant-gardiste à chaque tournant décisif de l’histoire des télécommunications en vous soumettant le « mémorandum relatif aux recommandations sur le développement du secteur des télécommunications et du numérique au Sénégal ».
«L’adaptation de certaines structures (ex : Artp, Senum, Fdsut, Hayo, Conseil du numérique, Ministère de tutelle, etc.) de gouvernance du numérique et des télécoms face aux nouveaux défis et des politiques au niveau communautaire (Cedeao, Uemoa) est un impératif. Ces structures de gouvernance doivent être de véritables dispositifs créateurs d’opportunités dans un environnement compétitif sain, propulseurs de performances et d’amélioration continue de l’expérience usager/client sur tout le plan national », recommande le personnel de Sonatel. Il demande également une synergie plus accrue entre le public & privé pour le développement et la croissance du secteur doit être mieux structurée et surtout animée à travers des objectifs clairement définis et un dispositif d’évaluation des performances dynamique.
«Une très grande solidarité doit être tissée autour des « grandes priorités » de l’Etat en favorisant : le renforcement des cadres d’échanges, les investissements dans les infrastructures, accompagnés d’une fiscalité incitative », lit-on dans le document.
Selon le personnel de Sonatel, le capital humain est un autre élément clé de la stratégie de développement des télécommunications et du numérique. «Les problèmes d’emploi, de gestion des compétences, de la formation et de la sensibilisation sont adressées à travers des recommandations telles que : la résorption du chômage des jeunes en favorisant une politique et un partenariat attractif avec les Opérateurs et le secteur privé, le mécénat de compétence, les programmes de formation numérique et d’insertion professionnelle adaptés aux jeunes qui échouent au Bfem et au Bac et ceux ayant un parcours différent (ex : Daara), le développement des programmes de mentorat en ligne pour les jeunes entrepreneurs du numérique, etc », font savoir les travailleurs de Sonatel.
Le numérique doit selon le personnel de Sonatel, être le soubassement de toutes les stratégies de développement des secteurs au Sénégal.
«Alors il s’avère nécessaire d’optimiser la gestion des programmes de big data pour un meilleur adressage des problématiques économiques et sociales qui peuvent trouver des réponses efficientes grâce à la R&D, l’AI, les IOT. Les starts up doivent être le fer de lance pour tirer toute l’opportunité que nous offre le numérique », recommandent les travailleurs de Sonatel. Ils soutiennent que la couverture réseau et la Qualité de service (QoS) sont des enjeux majeurs pour le développement des télécommunications au Sénégal. Le personnel juge important de renforcer la couverture et la qualité des réseaux dans les zones rurales et les quartiers défavorisés, en particulier en ce qui concerne la téléphonie mobile et l'internet haut débit. Il est également important selon eux, de développer des réseaux de nouvelle génération, tels que la 5G, pour répondre aux besoins croissants en termes de connectivité et de débit. L’optimisation, des ressources entre les acteurs télécoms & autres, doit être privilégiée à travers le co-investissement et la co-exploitation.
Selon le personnel, il y a toutefois lieu d’adresser les impacts économiques et sociaux des géants du Net sur l’économie sénégalaise pour étudier au-delà des opportunités, leurs limites sur les entreprises sénégalaises.
«Le secteur du numérique bénéficie d’une place prépondérante dans les différentes articulations du « Projet » pour une accélération de la croissance et du développement du Sénégal sur tous les aspects économiques avec un fort impact social », lit-on dans le document. Ainsi, ces orientations majeures interpellent et invitent les acteurs de l’écosystème à opérer un changement de mentalité, de posture et à redéfinir les priorités et les modalités de mise en œuvre opérationnelle.
En conséquence, le personnel de Sonatel, à travers toutes les organisations sociales internes fortement représentées par le Syts, le Sntpt, l’Acson, l’Afson, l’Anars et l’Asc Sonatel, assume pleinement son rôle avant-gardiste à chaque tournant décisif de l’histoire des télécommunications en vous soumettant le « mémorandum relatif aux recommandations sur le développement du secteur des télécommunications et du numérique au Sénégal ».
«L’adaptation de certaines structures (ex : Artp, Senum, Fdsut, Hayo, Conseil du numérique, Ministère de tutelle, etc.) de gouvernance du numérique et des télécoms face aux nouveaux défis et des politiques au niveau communautaire (Cedeao, Uemoa) est un impératif. Ces structures de gouvernance doivent être de véritables dispositifs créateurs d’opportunités dans un environnement compétitif sain, propulseurs de performances et d’amélioration continue de l’expérience usager/client sur tout le plan national », recommande le personnel de Sonatel. Il demande également une synergie plus accrue entre le public & privé pour le développement et la croissance du secteur doit être mieux structurée et surtout animée à travers des objectifs clairement définis et un dispositif d’évaluation des performances dynamique.
«Une très grande solidarité doit être tissée autour des « grandes priorités » de l’Etat en favorisant : le renforcement des cadres d’échanges, les investissements dans les infrastructures, accompagnés d’une fiscalité incitative », lit-on dans le document.
Selon le personnel de Sonatel, le capital humain est un autre élément clé de la stratégie de développement des télécommunications et du numérique. «Les problèmes d’emploi, de gestion des compétences, de la formation et de la sensibilisation sont adressées à travers des recommandations telles que : la résorption du chômage des jeunes en favorisant une politique et un partenariat attractif avec les Opérateurs et le secteur privé, le mécénat de compétence, les programmes de formation numérique et d’insertion professionnelle adaptés aux jeunes qui échouent au Bfem et au Bac et ceux ayant un parcours différent (ex : Daara), le développement des programmes de mentorat en ligne pour les jeunes entrepreneurs du numérique, etc », font savoir les travailleurs de Sonatel.
Le numérique doit selon le personnel de Sonatel, être le soubassement de toutes les stratégies de développement des secteurs au Sénégal.
«Alors il s’avère nécessaire d’optimiser la gestion des programmes de big data pour un meilleur adressage des problématiques économiques et sociales qui peuvent trouver des réponses efficientes grâce à la R&D, l’AI, les IOT. Les starts up doivent être le fer de lance pour tirer toute l’opportunité que nous offre le numérique », recommandent les travailleurs de Sonatel. Ils soutiennent que la couverture réseau et la Qualité de service (QoS) sont des enjeux majeurs pour le développement des télécommunications au Sénégal. Le personnel juge important de renforcer la couverture et la qualité des réseaux dans les zones rurales et les quartiers défavorisés, en particulier en ce qui concerne la téléphonie mobile et l'internet haut débit. Il est également important selon eux, de développer des réseaux de nouvelle génération, tels que la 5G, pour répondre aux besoins croissants en termes de connectivité et de débit. L’optimisation, des ressources entre les acteurs télécoms & autres, doit être privilégiée à travers le co-investissement et la co-exploitation.
Selon le personnel, il y a toutefois lieu d’adresser les impacts économiques et sociaux des géants du Net sur l’économie sénégalaise pour étudier au-delà des opportunités, leurs limites sur les entreprises sénégalaises.