
Des politiques propauvres et sensibles à l’égalité hommes-femmes, qui cherchent à réduire les écarts et à promouvoir le développement humain, exigent un engagement plus affirmé en faveur des principes de la bonne gouvernance. Plusieurs éléments contribuent à la gouvernance inclusive des villes, comme le maintien de la prééminence de l’Etat de droit, la défense des droits de l’homme et des processus décisionnels transparents, participatifs et responsables.
En effet, la gouvernance inclusive passe également par un engagement actifs des pauvres, femmes, hommes et jeunes confondus, afin de garantir l’adoption de politiques susceptibles de combler les écarts entre riches et pauvres et défendant l’égalité des chances.
Les villes durables ont tout à gagner d’un engagement citoyen accru, surtout parmi les femmes. Cet engagement est en effet vital pour décider des allocations de ressources afin d’assurer à moindre coût des services de qualité plus équitables pour l’énergie, l’eau, l’assainissement et le logement. Les programmes de gouvernance et les instruments conçus pour renforcer la participation et l’autonomisation des femmes ont visés des groupes très variés. Ils ont contribué à une émancipation accrue des citoyens, renforcé l’égalité hommes-femmes et la responsabilité et à l’organisation de lieux de vie dynamiques et durables, autant d’avancées qui se sont traduites par des retombées économiques et sociales équitables dans les villes durables.
L’essor rapide des zones urbaines dans les pays d’Afrique à niveau de développement faible a empêché la plupart des gouvernements de procéder aux investissements dans les infrastructures physiques et le capital humain indispensables pour renforcer le niveau de productivité et atténuer les effets négatifs imprévus de l’urbanisation.
Pathé TOURE
En effet, la gouvernance inclusive passe également par un engagement actifs des pauvres, femmes, hommes et jeunes confondus, afin de garantir l’adoption de politiques susceptibles de combler les écarts entre riches et pauvres et défendant l’égalité des chances.
Les villes durables ont tout à gagner d’un engagement citoyen accru, surtout parmi les femmes. Cet engagement est en effet vital pour décider des allocations de ressources afin d’assurer à moindre coût des services de qualité plus équitables pour l’énergie, l’eau, l’assainissement et le logement. Les programmes de gouvernance et les instruments conçus pour renforcer la participation et l’autonomisation des femmes ont visés des groupes très variés. Ils ont contribué à une émancipation accrue des citoyens, renforcé l’égalité hommes-femmes et la responsabilité et à l’organisation de lieux de vie dynamiques et durables, autant d’avancées qui se sont traduites par des retombées économiques et sociales équitables dans les villes durables.
L’essor rapide des zones urbaines dans les pays d’Afrique à niveau de développement faible a empêché la plupart des gouvernements de procéder aux investissements dans les infrastructures physiques et le capital humain indispensables pour renforcer le niveau de productivité et atténuer les effets négatifs imprévus de l’urbanisation.
Pathé TOURE