Les performances de croissance réalisées par certaines économies africaines, sont saluées par les 8 pays les plus industrialisées de la planète. Toutefois, ces derniers conscients du fait que l’Afrique est devenue incontournable pour la durabilité de leur croissance économique, ils entendent augmenter leur soutien au développement du continent africain. A cet égard, les pays du G8 stipulent qu’une croissance durable pour l’Afrique, doit inévitablement passer par une plus grande transparence, la mise en place d’infrastructures plus performantes, l’offre de plus grandes opportunités commerciales, la levée des barrières douanières et une bonne gestion des ressources naturelles.
Le G8 s’engage ainsi, à soutenir le Plan d’Action pour la relance du commerce interafricain de l’Union Africaine (UA), dont le but est de diminuer le temps de transit des marchandises et d’accroître le commerce aussi bien à l’intérieur du continent africain que sur le marché mondial. En outre, les pays du G8 se sont engagés à apporter une plus grande assistance dans les projets d’infrastructures, dans lesquels l’Afrique enregistre de grandes lacunes. Ils s’engagent également, dans la gestion des ressources naturelles, qui constituent le moteur de la croissance durable, car offrant une solution pour éradiquer la pauvreté à long terme, mais aussi une opportunité de réduire la dépendance des pays africains vis-à-vis de l’aide extérieure. Et enfin, le G8 décide d’accroître la transparence au niveau des industries extractives, mais aussi de mettre en place des normes internationales de systèmes d’informations comptables pour les pays qui ont de grandes industries extractives et ceux ayant de grandes multinationales exerçant dans le secteur.
Sokhna Seck
Le G8 s’engage ainsi, à soutenir le Plan d’Action pour la relance du commerce interafricain de l’Union Africaine (UA), dont le but est de diminuer le temps de transit des marchandises et d’accroître le commerce aussi bien à l’intérieur du continent africain que sur le marché mondial. En outre, les pays du G8 se sont engagés à apporter une plus grande assistance dans les projets d’infrastructures, dans lesquels l’Afrique enregistre de grandes lacunes. Ils s’engagent également, dans la gestion des ressources naturelles, qui constituent le moteur de la croissance durable, car offrant une solution pour éradiquer la pauvreté à long terme, mais aussi une opportunité de réduire la dépendance des pays africains vis-à-vis de l’aide extérieure. Et enfin, le G8 décide d’accroître la transparence au niveau des industries extractives, mais aussi de mettre en place des normes internationales de systèmes d’informations comptables pour les pays qui ont de grandes industries extractives et ceux ayant de grandes multinationales exerçant dans le secteur.
Sokhna Seck