« Je ne pourrais commencer sans adresser mes remerciements, à vous directeurs généraux, hôteliers, DMCs, syndicats d’initiative, gestionnaires de sites évènementiels, coordonnateurs des comités d’organisation de grands évènements », dit d’emblée le directeur général de l’Aspt.
Mahawa Diouf qui présidait, ce matin, un atelier de restitution de l’étude menée en vue d’évaluer le potentiel de la Destination Sénégal dans le tourisme d’affaires ou MICE qui rassemble de nombreux acteurs et prestataires issus de différents secteurs notamment les hôtels, les restaurants, les prestataires de services (traiteurs, animation de soirée, animation d’événement, team building, location de matériel et de mobilier...).
Pour cela, dit-il, il nous a semblé important d’évaluer en profondeur le potentiel de la Destination dans cette industrie, en termes d’offre, de réceptifs, d’infrastructures, de capital humain, pour pouvoir poser des jalons réalistes et concrets d’une stratégie durable et performante. C’est tout l’esprit de cette étude de faisabilité qui a été menée à Dakar, sur la Petite Côte, au Sine-Saloum et à Saint-Louis menée par The Tourism Business Company, partenariat de l’Aspt et qui est un cabinet sud-africain reconnu pour son expertise dans ce domaine et ayant accompagné tous ceux qui en Afrique, comptent dans le MICE à l’échelle continentale et mondiale.
Selon l’étude, le Sénégal dispose d’un potentiel considérable pour développer son offre MICE. Il s’agit entre autres « de sa stabilité politique exemplaire en Afrique et du dynamisme de sa diplomatie ». Aussi, confie-t-on, le pays abrite, en effet, des sièges régionaux de grandes institutions internationales, des infrastructures d’accueil multifonctionnelles à rentabiliser au vu des investissements consentis (Cicad, Parc Des Expos, Dakar Arena, Musée des civilisations Noires, Stade Olympique etc.)
Le processus de valorisation de l’offre MICE du Sénégal, d’après M. Diouf, impose une démarche de co-construction, d’intelligence collective pour arriver à une stratégie, un plan d’actions consensuel, gagnant-gagnant pour l’Etat du Sénégal et le secteur privé national.
En effet, il rappelle que l’Etat, à travers le président Macky Sall, a une vision d’un tourisme sénégalais compétitif, performant, armé d’un secteur privé fort et qui s’articule autour d’expériences distinctives à forte valeur ajoutée et ciblant des segments de visiteurs attractifs pouvant générer des recettes touristiques considérables pour le Sénégal, et par ricochet créer de la croissance et générer des emplois.
Au sein de l’Aspt, Mahawa Diouf indique : « Nous avons très vite saisi tout l’enjeu que représente le développement d’une telle industrie au Sénégal, forts de nos atouts en termes d’offre touristique, de stabilité et sécurité, de notre capital humain, de notre politique d’aménagement touristique et infrastructurelle déclinée du Pse. » A l’en croire, dans le monde, le MICE a représenté en 2019, en période pré-covid, un volume de plus de 1000 Milliards $, avec une part de marché pour l’Afrique estimée à 3% dans laquelle le Sénégal ne représente que 1,2%.
Par conséquent, le Dg de l’Aspt souligne l’objectif du partenariat entre sa structure et le cabinet sud-africain The Tourism Business Company, est de disposer dans les meilleurs délais d’une stratégie nationale dédiée au développement du MICE au Sénégal, et de mettre en place, pour la première fois au Sénégal, et même en Afrique de l’Ouest, un Bureau de Conventions, véritable catalyseur de toute l’ambition nationale dans ce projet.
Bassirou MBAYE
Mahawa Diouf qui présidait, ce matin, un atelier de restitution de l’étude menée en vue d’évaluer le potentiel de la Destination Sénégal dans le tourisme d’affaires ou MICE qui rassemble de nombreux acteurs et prestataires issus de différents secteurs notamment les hôtels, les restaurants, les prestataires de services (traiteurs, animation de soirée, animation d’événement, team building, location de matériel et de mobilier...).
Pour cela, dit-il, il nous a semblé important d’évaluer en profondeur le potentiel de la Destination dans cette industrie, en termes d’offre, de réceptifs, d’infrastructures, de capital humain, pour pouvoir poser des jalons réalistes et concrets d’une stratégie durable et performante. C’est tout l’esprit de cette étude de faisabilité qui a été menée à Dakar, sur la Petite Côte, au Sine-Saloum et à Saint-Louis menée par The Tourism Business Company, partenariat de l’Aspt et qui est un cabinet sud-africain reconnu pour son expertise dans ce domaine et ayant accompagné tous ceux qui en Afrique, comptent dans le MICE à l’échelle continentale et mondiale.
Selon l’étude, le Sénégal dispose d’un potentiel considérable pour développer son offre MICE. Il s’agit entre autres « de sa stabilité politique exemplaire en Afrique et du dynamisme de sa diplomatie ». Aussi, confie-t-on, le pays abrite, en effet, des sièges régionaux de grandes institutions internationales, des infrastructures d’accueil multifonctionnelles à rentabiliser au vu des investissements consentis (Cicad, Parc Des Expos, Dakar Arena, Musée des civilisations Noires, Stade Olympique etc.)
Le processus de valorisation de l’offre MICE du Sénégal, d’après M. Diouf, impose une démarche de co-construction, d’intelligence collective pour arriver à une stratégie, un plan d’actions consensuel, gagnant-gagnant pour l’Etat du Sénégal et le secteur privé national.
En effet, il rappelle que l’Etat, à travers le président Macky Sall, a une vision d’un tourisme sénégalais compétitif, performant, armé d’un secteur privé fort et qui s’articule autour d’expériences distinctives à forte valeur ajoutée et ciblant des segments de visiteurs attractifs pouvant générer des recettes touristiques considérables pour le Sénégal, et par ricochet créer de la croissance et générer des emplois.
Au sein de l’Aspt, Mahawa Diouf indique : « Nous avons très vite saisi tout l’enjeu que représente le développement d’une telle industrie au Sénégal, forts de nos atouts en termes d’offre touristique, de stabilité et sécurité, de notre capital humain, de notre politique d’aménagement touristique et infrastructurelle déclinée du Pse. » A l’en croire, dans le monde, le MICE a représenté en 2019, en période pré-covid, un volume de plus de 1000 Milliards $, avec une part de marché pour l’Afrique estimée à 3% dans laquelle le Sénégal ne représente que 1,2%.
Par conséquent, le Dg de l’Aspt souligne l’objectif du partenariat entre sa structure et le cabinet sud-africain The Tourism Business Company, est de disposer dans les meilleurs délais d’une stratégie nationale dédiée au développement du MICE au Sénégal, et de mettre en place, pour la première fois au Sénégal, et même en Afrique de l’Ouest, un Bureau de Conventions, véritable catalyseur de toute l’ambition nationale dans ce projet.
Bassirou MBAYE