Mme Fatou Bintou Djigo représentante résidente du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) au Sénégal
Mme Djigo s’exprimait lors d’une table ronde sur le thème «Le rôle de la femme dans le développement économique et humain en Afrique », organisée par le groupe All Africa Global Médias à l’occasion de la journée internationale de la femme. Parmi ces marges d'amélioration, elle a notamment cité l'inclusion et l'égalité du genre.
« L’année 2015 est une année charnière pour les acteurs du développement dans la quête de changement de paradigme », a laissé entendre la représentante résidente du PNUD au Sénégal. Selon elle, le vingtième anniversaire de la déclaration de Beijing qui date de 1995, est l’occasion de faire le point sur les progrès accomplis au niveau international dans la promotion des droits et des opportunités pour les femmes et les filles, tout en réaffirmant les engagements en faveur de l’égalité entre les sexes.
« Le développement ne peut se réaliser si 50% de la population concernée (les femmes) est exclue des opportunités que le développement est à même d’offrir », a-t-elle laissé entendre.
De plus, note Mme Djigo, le nombre de ménages ayant pour chef une femme s'accroît rapidement dans les zones rurales dans de nombreux pays en développement, du fait de l'exode rural masculin faute d'emplois et d'activités rémunératrices. En Afrique subsaharienne, 31% des ménages ruraux sont dirigés par des femmes selon le PNUD.
Ismaila BA
« L’année 2015 est une année charnière pour les acteurs du développement dans la quête de changement de paradigme », a laissé entendre la représentante résidente du PNUD au Sénégal. Selon elle, le vingtième anniversaire de la déclaration de Beijing qui date de 1995, est l’occasion de faire le point sur les progrès accomplis au niveau international dans la promotion des droits et des opportunités pour les femmes et les filles, tout en réaffirmant les engagements en faveur de l’égalité entre les sexes.
« Le développement ne peut se réaliser si 50% de la population concernée (les femmes) est exclue des opportunités que le développement est à même d’offrir », a-t-elle laissé entendre.
De plus, note Mme Djigo, le nombre de ménages ayant pour chef une femme s'accroît rapidement dans les zones rurales dans de nombreux pays en développement, du fait de l'exode rural masculin faute d'emplois et d'activités rémunératrices. En Afrique subsaharienne, 31% des ménages ruraux sont dirigés par des femmes selon le PNUD.
Ismaila BA