A travers son communiqué de presse, Allianz Africa dit avoir initié un chantier de transformation numérique dont la pièce maitresse est Abs (Allianz business system). Il s’agit, d’après le document, d’une plateforme développée avec une approche centrée sur le client visant à standardiser et à harmoniser les produits, les systèmes et les processus à l’échelle du continent.
En ce sens, explique Delphine Traoré, « afin de permettre à la digitalisation d’atteindre les objectifs escomptés, nous devons commencer par un aspect fondamental : Simplifier avant de numériser. Il s’agit de réduire la complexité des processus et des produits pour offrir à nos assurés, partout où ils se trouvent, une expérience client unique et optimale ».
La directrice régionale des opérations d’Allianz Africa ajoute dans la foulée : « Nous continuons notre quête de digitalisation en rajoutant de nouveaux produits à notre nouvelle plateforme, les rendant ainsi plus accessibles à nos partenaires et nos clients. » Ceci, renseigne-t-elle, est d’autant plus important étant donné la situation sanitaire actuelle qui change notre façon de faire du business dans le secteur de l’assurance.
Les principaux leviers de la digitalisation sur le continent, à en croire le communiqué,sont le taux de pénétration des téléphones mobiles, la jeunesse de la population, la croissance de la classe moyenne et les régimes d’assurance obligatoires. Malgré ces signaux favorables, souligne-t-il tout de même, les assureurs sont prudents en matière d’investissements digitaux.
Car, explique le texte, ils souhaitent d’abord évaluer l’impact de la digitalisation sur le business et peser les opportunités par rapport aux coûts. Selon le rapport intitulé Pouls de l’assurance en Afrique en 2020 de l’Organisation des assurances africaines (Oaa), qui examine les marchés africains de l’assurance directe, cité par Allianz Africa, la plupart investissent 2% seulement de leurs revenus dans la stratégie de transformation digitale.
Allianz Africa ne l’entend pas de la même oreille : « Nous avons entamé cette expérience en investissant 10% de notre revenu dans la digitalisation, et cela a commencé bien avant le COVID-19 », affirme la directrice opérations régionale d’Allianz Africa et par ailleurs présidente de l’Oaa.
Selon le communiqué, le client interne n’est pas en reste de cette transformation digitale chez Allianz Africa : Une transformation structurelle importante a eu lieu. « En moins de 18 mois, toutes nos entités ont migré vers un nouveau système d’exploitation complètement numérisé. Tous les employés peuvent accéder à leurs fichiers et données à partir de n’importe quel ordinateur dans le monde entier », confie enfin Delphine Traoré.
Bassirou MBAYE
En ce sens, explique Delphine Traoré, « afin de permettre à la digitalisation d’atteindre les objectifs escomptés, nous devons commencer par un aspect fondamental : Simplifier avant de numériser. Il s’agit de réduire la complexité des processus et des produits pour offrir à nos assurés, partout où ils se trouvent, une expérience client unique et optimale ».
La directrice régionale des opérations d’Allianz Africa ajoute dans la foulée : « Nous continuons notre quête de digitalisation en rajoutant de nouveaux produits à notre nouvelle plateforme, les rendant ainsi plus accessibles à nos partenaires et nos clients. » Ceci, renseigne-t-elle, est d’autant plus important étant donné la situation sanitaire actuelle qui change notre façon de faire du business dans le secteur de l’assurance.
Les principaux leviers de la digitalisation sur le continent, à en croire le communiqué,sont le taux de pénétration des téléphones mobiles, la jeunesse de la population, la croissance de la classe moyenne et les régimes d’assurance obligatoires. Malgré ces signaux favorables, souligne-t-il tout de même, les assureurs sont prudents en matière d’investissements digitaux.
Car, explique le texte, ils souhaitent d’abord évaluer l’impact de la digitalisation sur le business et peser les opportunités par rapport aux coûts. Selon le rapport intitulé Pouls de l’assurance en Afrique en 2020 de l’Organisation des assurances africaines (Oaa), qui examine les marchés africains de l’assurance directe, cité par Allianz Africa, la plupart investissent 2% seulement de leurs revenus dans la stratégie de transformation digitale.
Allianz Africa ne l’entend pas de la même oreille : « Nous avons entamé cette expérience en investissant 10% de notre revenu dans la digitalisation, et cela a commencé bien avant le COVID-19 », affirme la directrice opérations régionale d’Allianz Africa et par ailleurs présidente de l’Oaa.
Selon le communiqué, le client interne n’est pas en reste de cette transformation digitale chez Allianz Africa : Une transformation structurelle importante a eu lieu. « En moins de 18 mois, toutes nos entités ont migré vers un nouveau système d’exploitation complètement numérisé. Tous les employés peuvent accéder à leurs fichiers et données à partir de n’importe quel ordinateur dans le monde entier », confie enfin Delphine Traoré.
Bassirou MBAYE