Le rapport de la revue du secteur de l’élevage pour l’année 2017 a été présenté au cours d’un atelier présidé par Aminata Mbengue Ndiaye. Le document renseigne que les résultats sont globalement satisfaisants par rapport à 2016. Dans cette revue, les indicateurs dominants retenus pour le suivi des performances du secteur de l’élevage portent sur la production nationale annuelle de viande et d’abats ; de lait ; d’œufs de consommation et les exportations de cuirs et peaux.
Selon le rapport, la production de viande et d’abats réalisée en 2017, porte sur un volume estimé à 246.520 tonnes dont 57% de viande bovine et de volaille industrielle. Par rapport à 2016, la production connait une légère augmentation de 2%, soit 3.879 tonnes. Cette hausse est portée principalement par la volaille industrielle (+8820 tonnes) et à un degré moindre, la viande ovine (+3751 tonnes).
Concernant la production de lait, le rapport révèle qu’elle porte en 2017 sur un volume de 243,5 millions de litres, soit un taux deréalisation de 99%. Comparée à 2016, la production a accusé une hausse de 12 millions de litres imputable à l’accroissement de laproduction des élevages métisses et de races pures.
Pour ce qui est des importations de laits et produits laitiers, elles ont atteint en 2017 un volume de 30.660 tonnes, soit 211,6 millions de litres équivalent lait dont plus de 95% provient de l’Union européenne.
Quant à la production d’œufs de consommation en 2017, elle est estimée à 719 millions d’unités soit un taux de réalisation de 104% par rapport à l’objectif de 694 millions d’unités qui était visé. Elle évolue de 6% par rapport à 2016.
Pour les cuirs et peaux, le volume de 5049 tonnes constitués de Wet blue pour un peu plus de 2/3 (69%) a été exporté en 2017. Par rapport à 2016, il y a une nette augmentation (+43) pour le Wet blue contrairement aux peaux brutes dont le volume a accusé un recul de 58%.
En perspectives pour 2018, l’accent sera mis particulièrement sur la lutte contre les maladies animales ; l’appui au pastoralisme ; le développement des interventions en faveur des chaines de valeur lait ; la lutte contre le vol de bétail et le renforcement du système statistique sectoriel.
Mariama Diallo
Selon le rapport, la production de viande et d’abats réalisée en 2017, porte sur un volume estimé à 246.520 tonnes dont 57% de viande bovine et de volaille industrielle. Par rapport à 2016, la production connait une légère augmentation de 2%, soit 3.879 tonnes. Cette hausse est portée principalement par la volaille industrielle (+8820 tonnes) et à un degré moindre, la viande ovine (+3751 tonnes).
Concernant la production de lait, le rapport révèle qu’elle porte en 2017 sur un volume de 243,5 millions de litres, soit un taux deréalisation de 99%. Comparée à 2016, la production a accusé une hausse de 12 millions de litres imputable à l’accroissement de laproduction des élevages métisses et de races pures.
Pour ce qui est des importations de laits et produits laitiers, elles ont atteint en 2017 un volume de 30.660 tonnes, soit 211,6 millions de litres équivalent lait dont plus de 95% provient de l’Union européenne.
Quant à la production d’œufs de consommation en 2017, elle est estimée à 719 millions d’unités soit un taux de réalisation de 104% par rapport à l’objectif de 694 millions d’unités qui était visé. Elle évolue de 6% par rapport à 2016.
Pour les cuirs et peaux, le volume de 5049 tonnes constitués de Wet blue pour un peu plus de 2/3 (69%) a été exporté en 2017. Par rapport à 2016, il y a une nette augmentation (+43) pour le Wet blue contrairement aux peaux brutes dont le volume a accusé un recul de 58%.
En perspectives pour 2018, l’accent sera mis particulièrement sur la lutte contre les maladies animales ; l’appui au pastoralisme ; le développement des interventions en faveur des chaines de valeur lait ; la lutte contre le vol de bétail et le renforcement du système statistique sectoriel.
Mariama Diallo