Amadou BA, ministre de l’Economie et des Finances du Sénégal, dirige désormais Conseil des ministres des finances de la zone Uemoa
Lors du Conseil des ministres de la zone Uemoa, les membres de l’Union ont beaucoup insisté sur la nécessité d’un endettement prudent pour les pays. En effet, souligne un communiqué de l’institution, en vue de l’atteinte de tels objectifs de croissance, les Ministres ont encouragé les Etats membres à poursuivre les efforts de renforcement de la qualité des investissements publics tout en veillant à mettre en œuvre des politiques d’endettement appropriées qui préservent la soutenabilité de la dette.
De même, le Conseil des ministres a recommandé aux Etats d’accroître la mobilisation des ressources internes, notamment fiscales, pour financer le développement et impulser la transformation économique. Les Ministres ont également recommandé l’accentuation des efforts déployés par les Etats et la Banque Centrale en vue d’améliorer le rapatriement des recettes d’exportation de l’Union.
Sur un autre plan, le Conseil qui a maintenant à sa tête, le ministre de l’Economie et des Finances du Sénégal, Amadou Ba, a examiné la situation économique et monétaire récente de l’Union. Il a, à cet égard, relevé que le taux de croissance du produit intérieur brut de l’Union, en termes réels, est attendu à 6,6% en 2015, comme en 2014 et serait soutenu par la vigueur et le dynamisme de l’ensemble des secteurs d’activité. Les projections pour l’année 2016 situent le taux de croissance de l’Union à 7,2%. En même temps, les membres du Conseil ont noté l’absence de tension inflationniste dans l’Union marquée par le maintien du taux d’inflation à un niveau faible. La variation du niveau général des prix à la consommation s’est établie, poursuit le communiqué, en glissement annuel, à 1,5% à fin septembre 2015 soit un niveau identique à celui enregistré à fin juin 2015. En moyenne pour l’ensemble de l’année 2015, le taux d’inflation est attendu à 1,0%.
Pathé TOURE
De même, le Conseil des ministres a recommandé aux Etats d’accroître la mobilisation des ressources internes, notamment fiscales, pour financer le développement et impulser la transformation économique. Les Ministres ont également recommandé l’accentuation des efforts déployés par les Etats et la Banque Centrale en vue d’améliorer le rapatriement des recettes d’exportation de l’Union.
Sur un autre plan, le Conseil qui a maintenant à sa tête, le ministre de l’Economie et des Finances du Sénégal, Amadou Ba, a examiné la situation économique et monétaire récente de l’Union. Il a, à cet égard, relevé que le taux de croissance du produit intérieur brut de l’Union, en termes réels, est attendu à 6,6% en 2015, comme en 2014 et serait soutenu par la vigueur et le dynamisme de l’ensemble des secteurs d’activité. Les projections pour l’année 2016 situent le taux de croissance de l’Union à 7,2%. En même temps, les membres du Conseil ont noté l’absence de tension inflationniste dans l’Union marquée par le maintien du taux d’inflation à un niveau faible. La variation du niveau général des prix à la consommation s’est établie, poursuit le communiqué, en glissement annuel, à 1,5% à fin septembre 2015 soit un niveau identique à celui enregistré à fin juin 2015. En moyenne pour l’ensemble de l’année 2015, le taux d’inflation est attendu à 1,0%.
Pathé TOURE