« Ce projet vise à favoriser l’accès quantitatif et qualitatif à l’eau potable et à l’assainissement dans les centres urbains particulièrement à Richard-Toll, Diourbel, Joal-Fadiouth, Mbour, Nguékokh), Mbodiène et Dakar principalement dans sa banlieue », a affirmé M. Amadou Bâ ministre de l’économie, des finances et du plan. Selon lui, le PEAMU se donne pour objectifs d’augmenter les capacités de production et de distribution d’eau potable du Sénégal notamment en diversifiant les sources d’approvisionnement et en mettant en valeur les ressources en eau souterraine, mais également d’accroitre l’accès des populations aux services d’assainissement dans les centre urbains.
« Avec la signature du présent accord, la Banque mondiale aura injecté plus de 175 milliards FCFA dans le secteur en vingt ans », a, de son coté, avancé Mme Cord. le projet succède en effet au projet sectoriel eau (PSE) en 1996, le projet eau à long terme (PELT)en 2001 et le programme eau et assainissement pour le millénaire (PEPAM). « Grâce à ces projets successifs, cofinancés avec d’autres bailleurs, le Sénégal a atteint la desserte universelle en eau potable en milieu urbain, en se hissant au premier rang des pays africains au sud du Sahara en termes de taux de desserte en eau par branchement domiciliaire », a soutenu la directrice des opérations de la Banque mondiale. Selon elle, le sous-secteur de l’eau potable a largement dépassé les objectifs du millénaire pour le développement (OMD), y compris en milieu rural où le taux de desserte en eau est estimé à 84,1% comparé à l’objectif initial de 82%. L’assainissement n’est pas en reste avec plus d’un million de personnes qui ont bénéficié de services améliorés d’assainissement. « Cependant des défis importants restent encore à relever dans ce sous-secteur où le taux de desserte en milieu urbain était estimé à 61,7% en 2014 », a laissé entendre Mme Cord.
El Hadj Diakhaté
« Avec la signature du présent accord, la Banque mondiale aura injecté plus de 175 milliards FCFA dans le secteur en vingt ans », a, de son coté, avancé Mme Cord. le projet succède en effet au projet sectoriel eau (PSE) en 1996, le projet eau à long terme (PELT)en 2001 et le programme eau et assainissement pour le millénaire (PEPAM). « Grâce à ces projets successifs, cofinancés avec d’autres bailleurs, le Sénégal a atteint la desserte universelle en eau potable en milieu urbain, en se hissant au premier rang des pays africains au sud du Sahara en termes de taux de desserte en eau par branchement domiciliaire », a soutenu la directrice des opérations de la Banque mondiale. Selon elle, le sous-secteur de l’eau potable a largement dépassé les objectifs du millénaire pour le développement (OMD), y compris en milieu rural où le taux de desserte en eau est estimé à 84,1% comparé à l’objectif initial de 82%. L’assainissement n’est pas en reste avec plus d’un million de personnes qui ont bénéficié de services améliorés d’assainissement. « Cependant des défis importants restent encore à relever dans ce sous-secteur où le taux de desserte en milieu urbain était estimé à 61,7% en 2014 », a laissé entendre Mme Cord.
El Hadj Diakhaté