Selon Mamadou Sarr, Directeur de Cabinet de Monsieur Birima Mangara, Ministre Délégué au Budget, l’atelier de Dakar offre l’opportunité d’échanger sur une problématique inscrite en lettre d’or dans les programmes de l’agenda 2063 de l’Union africaine ainsi que dans les programmes nationaux.
En effet, au cours des deux dernières décennies, souligne-t-il, l’Afrique a réalisé des progrès remarquables. Le rythme de progression de l’économie a été particulièrement élevé dans bon nombre de pays, porté notamment par des réformes d’envergure et un environnement international porteur, se traduisant par l’amélioration des indicateurs sociaux à la faveur également de meilleures politiques sociales.
«Mais le récent coup de frein à la croissance imputable pour une large part au recul des cours des produits de base, en fragilisant les acquis, met les gouvernements africains devant leur responsabilité historique, celle de libérer le potentiel productif afin d’élargir les bases de la production et résister aux vents contraires», indique Mamadou Sarr.
Selon lui, si la diversification comme moyen de transformer la structure de l’économie pour une croissance forte et auto auto-entretenue est au cœur des politiques de développement économique et social en Afrique, un grand nombre de questions nous interpelle.
Prenant l’exemple du Sénégal Mamadou Sarr fait savoir que les politiques publiques sont destinées à accélérer le rythme de réalisation des réformes et les ruptures structurelles pour véritablement inscrire notre pays sur une nouvelle trajectoire de croissance et de développement.
D’ailleurs, des actions hardies sont en cours à ce titre pour relever durablement le potentiel de croissance, stimuler la créativité et appuyer l’initiative privée afin de satisfaire la forte aspiration des populations au mieux-être.
«Les premiers résultats sont très probants avec le positionnement du Sénégal dans le peloton de tête de la croissance en Afrique grâce aux efforts de diversification de la production malgré le contexte mondial difficile», conclut-il.
Pathé TOURE
En effet, au cours des deux dernières décennies, souligne-t-il, l’Afrique a réalisé des progrès remarquables. Le rythme de progression de l’économie a été particulièrement élevé dans bon nombre de pays, porté notamment par des réformes d’envergure et un environnement international porteur, se traduisant par l’amélioration des indicateurs sociaux à la faveur également de meilleures politiques sociales.
«Mais le récent coup de frein à la croissance imputable pour une large part au recul des cours des produits de base, en fragilisant les acquis, met les gouvernements africains devant leur responsabilité historique, celle de libérer le potentiel productif afin d’élargir les bases de la production et résister aux vents contraires», indique Mamadou Sarr.
Selon lui, si la diversification comme moyen de transformer la structure de l’économie pour une croissance forte et auto auto-entretenue est au cœur des politiques de développement économique et social en Afrique, un grand nombre de questions nous interpelle.
Prenant l’exemple du Sénégal Mamadou Sarr fait savoir que les politiques publiques sont destinées à accélérer le rythme de réalisation des réformes et les ruptures structurelles pour véritablement inscrire notre pays sur une nouvelle trajectoire de croissance et de développement.
D’ailleurs, des actions hardies sont en cours à ce titre pour relever durablement le potentiel de croissance, stimuler la créativité et appuyer l’initiative privée afin de satisfaire la forte aspiration des populations au mieux-être.
«Les premiers résultats sont très probants avec le positionnement du Sénégal dans le peloton de tête de la croissance en Afrique grâce aux efforts de diversification de la production malgré le contexte mondial difficile», conclut-il.
Pathé TOURE