Devenue incontournable dans le monde actuel, la finance islamique s’est imposée comme le modèle par excellence pour lever des fonds. A ce sujet, la Société islamique pour le développement du secteur privé (SID) en marge du Forum de la finance islamique en Afrique, a publié un rapport intitulé "La finance islamique en Afrique: un avenir prometteur”. Le rapport met en exergue les opportunités et le potentiel énorme de développement de la finance islamique en Afrique.
Selon un communiqué, une des recommandations du rapport montre que la finance islamique peut agir comme catalyseur dans la mobilisation de ressources financières en Afrique permettant la croissance économique et le développement durable.
Le rapport souligne également des progrès notables dans le secteur de sukuk, où les évolutions récentes ont poussé les gouvernements à se concentrer davantage sur la création d'un environnement plus favorable pour les émissions de sukuk. Certains pays ont déjà émis des sukuk comme la Gambie, le Soudan, le Sénégal et l'Afrique du Sud, tandis que la Côte-d'Ivoire s’est positionnée pour une émission d’ici la fin de l’année.
Dans ses principales recommandations, le rapport souligne que pour capturer cet énorme potentiel, il faudra surmonter les défis suivants : la réglementation non adaptée, le manque de capital humain qualifié, la faible sensibilisation du public une méconnaissance de la finance islamique et enfin un cadre propice au développement des affaires.
Pathé TOURE
Selon un communiqué, une des recommandations du rapport montre que la finance islamique peut agir comme catalyseur dans la mobilisation de ressources financières en Afrique permettant la croissance économique et le développement durable.
Le rapport souligne également des progrès notables dans le secteur de sukuk, où les évolutions récentes ont poussé les gouvernements à se concentrer davantage sur la création d'un environnement plus favorable pour les émissions de sukuk. Certains pays ont déjà émis des sukuk comme la Gambie, le Soudan, le Sénégal et l'Afrique du Sud, tandis que la Côte-d'Ivoire s’est positionnée pour une émission d’ici la fin de l’année.
Dans ses principales recommandations, le rapport souligne que pour capturer cet énorme potentiel, il faudra surmonter les défis suivants : la réglementation non adaptée, le manque de capital humain qualifié, la faible sensibilisation du public une méconnaissance de la finance islamique et enfin un cadre propice au développement des affaires.
Pathé TOURE