
En effet, selon le Conseil d’administration du FMI achève la troisième revue du programme au titre de l’Instrument de soutien à la politique économique (ISPE) en faveur du Sénégal, la réussite du PSE dépend de la mise en œuvre rapide d’une masse critique de réformes qui ont été identifiées, notamment dans le cadre des exercices d’apprentissage par les pairs, coordonnés par le FMI.
Une analyse clairement présentée de l’économie politique de ces réformes devrait faciliter leur mise en œuvre. Cependant, l’élan de croissance actuel de l’économie sénégalaise fait face à des risques internes et externes. Au niveau interne, il subsiste des risques de résistance au changement rendant nécessaire le renforcement de la rigueur et de la vigilance dans la gouvernance.
Si le pays ne parvient pas à adresser ces problèmes, note le FMI, il pourrait, comme cela s’est déjà produit à quatre reprises depuis 1990, perdre l’élan de croissance qui l’anime actuellement. Au plan externe, les risques sont notamment l’augmentation éventuelle du coût de l’emprunt public et la faiblesse de la croissance dans les principaux pays partenaires. Les risques sécuritaires dans la région pourraient également avoir un impact négatif sur l’investissement, et par conséquent, sur la croissance des exportations.
Pathé TOURE
Une analyse clairement présentée de l’économie politique de ces réformes devrait faciliter leur mise en œuvre. Cependant, l’élan de croissance actuel de l’économie sénégalaise fait face à des risques internes et externes. Au niveau interne, il subsiste des risques de résistance au changement rendant nécessaire le renforcement de la rigueur et de la vigilance dans la gouvernance.
Si le pays ne parvient pas à adresser ces problèmes, note le FMI, il pourrait, comme cela s’est déjà produit à quatre reprises depuis 1990, perdre l’élan de croissance qui l’anime actuellement. Au plan externe, les risques sont notamment l’augmentation éventuelle du coût de l’emprunt public et la faiblesse de la croissance dans les principaux pays partenaires. Les risques sécuritaires dans la région pourraient également avoir un impact négatif sur l’investissement, et par conséquent, sur la croissance des exportations.
Pathé TOURE