En effet, huit représentants de différents pays africains prétendent succéder au Rwandais Donald Kaberuka. Ces candidats sont repartis en deux zones : la zone des pays francophones qui comprend cinquante-quatre pays africains et celle des bailleurs de fonds. En ce qui concerne le secteur des pays ayant la langue française en partage et qui sont en compétition pour briguer ce poste on peut citer, le Tchad qui sera représenté par Bedoumra Kordje, le Malien Birima Boubacar Sidibé qui pourrait fédérer derrière lui les 15 Etats membres de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao), le Tunisien Jalloul Ayed qui est pour le compte du Maghreb et Cristina Duarte qui représente le Cap-Vert.
Les pays francophones souhaitent l'alternance dans ce vote
S'appuyant sur les textes qui réglementent l'institution, certains pays membres de l'organisation, exigent que ce vote respecte l'application et l'usage du principe d'alternance. Ainsi selon, eux un président francophone devrait prendre cette fois-ci, le pouvoir pour orienter les destinés de l'institution après le mandat de l'anglophone, Donald kaberuka. D'après les sondages et les estimations des pays membres de la BAD, ce vote sera rude, car certains candidats seront d'office écartés de la course, il s'agirait de l'ethiopien Ato Sufian Ahmed, du Zimbabwéen Zondo Thomas Sakala, du Sierra-Léonais Samura Kamara et du Nigérian Akinwumi Adesina qui serait soutenu par le président, Goodluck Jonathan.
Notons que la Banque africaine de développement fonctionne sous la direction du président qui est le représentant légal de la banque, du président du conseil d'administration et le chef du personnel. Élu par le conseil des gouverneurs pour un mandat de 5 ans, renouvelable une fois, il gère les affaires courantes de la banque, sous la direction du conseil d'administration.
Les Dépêches de Brazzaville/allafrica.com
Les pays francophones souhaitent l'alternance dans ce vote
S'appuyant sur les textes qui réglementent l'institution, certains pays membres de l'organisation, exigent que ce vote respecte l'application et l'usage du principe d'alternance. Ainsi selon, eux un président francophone devrait prendre cette fois-ci, le pouvoir pour orienter les destinés de l'institution après le mandat de l'anglophone, Donald kaberuka. D'après les sondages et les estimations des pays membres de la BAD, ce vote sera rude, car certains candidats seront d'office écartés de la course, il s'agirait de l'ethiopien Ato Sufian Ahmed, du Zimbabwéen Zondo Thomas Sakala, du Sierra-Léonais Samura Kamara et du Nigérian Akinwumi Adesina qui serait soutenu par le président, Goodluck Jonathan.
Notons que la Banque africaine de développement fonctionne sous la direction du président qui est le représentant légal de la banque, du président du conseil d'administration et le chef du personnel. Élu par le conseil des gouverneurs pour un mandat de 5 ans, renouvelable une fois, il gère les affaires courantes de la banque, sous la direction du conseil d'administration.
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