La Commission de la Cedeao note, selon un communiqué, que les incompréhensions d’une part, entre la Commission nationale des élections et la Cour suprême et d’autre part, au sein de ladite Cour, n’ont pas permis de régler le contentieux électoral qui dure depuis bientôt quatre mois dans le pays.
Ainsi, selon le document, « face à la persistance de ce blocage et après une analyse approfondie de la situation politique du pays, les chefs d’Etat et de gouvernement de la Cedeao ont décidé de reconnaitre la victoire de M. Umaro Sissoco Embalo au deuxième tour des élections présidentielles du 29 décembre 2019 de la Guinée Bissau».
Aussi, rapporte le communiqué, les dirigeants de la Cedeao ont également demandé au président Umaro Sissoco Embalo de procéder à la nomination d’un premier ministre et d’un nouveau gouvernement au plus tard le 22 mai 2020, conformément aux dispositions de la Constitution, notamment celles relatives aux résultats issus des élections législatives.
Les chefs d’Etat et de gouvernement ont par ailleurs, souligné la nécessité d’engager immédiatement la réforme relative à une nouvelle Constitution qui sera soumise à un référendum dans 6 mois afin d’assurer la stabilité du pays.
Bassirou MBAYE
Ainsi, selon le document, « face à la persistance de ce blocage et après une analyse approfondie de la situation politique du pays, les chefs d’Etat et de gouvernement de la Cedeao ont décidé de reconnaitre la victoire de M. Umaro Sissoco Embalo au deuxième tour des élections présidentielles du 29 décembre 2019 de la Guinée Bissau».
Aussi, rapporte le communiqué, les dirigeants de la Cedeao ont également demandé au président Umaro Sissoco Embalo de procéder à la nomination d’un premier ministre et d’un nouveau gouvernement au plus tard le 22 mai 2020, conformément aux dispositions de la Constitution, notamment celles relatives aux résultats issus des élections législatives.
Les chefs d’Etat et de gouvernement ont par ailleurs, souligné la nécessité d’engager immédiatement la réforme relative à une nouvelle Constitution qui sera soumise à un référendum dans 6 mois afin d’assurer la stabilité du pays.
Bassirou MBAYE