« Ce faible résultat est imputable à la baisse de la production contrôlée de viande bovine (-13,0%) et, dans une moindre mesure, au repli de la production de viande ovine (-2,0%) », note la DPEE. La diminution des abattages contrôlés d’ovins et de bovins est, notamment, expliquée par l’arrêt momentané des importations d’animaux sur pied en provenance du Mali.
Sur un an, le sous – secteur de l’élevage a progressé de 3,7% au troisième trimestre 2015. « Ce bon comportement traduit les performances enregistrées au niveau des abattages contrôlés de bovins (+2,4%), d’ovins (+15,3%) et d’asins (+12,7%) », souligne la DPEE. Elle ajoute, concernant cette dernière espèce, que l’augmentation de la production s’explique par un relèvement de la demande intérieure, émanant essentiellement de la communauté asiatique, mais aussi par l’accroissement des exportations vers le Vietnam et la Chine, notamment.
Sur les trois premiers trimestres de 2015, l’activité d’élevage a crû de 4,5%, comparativement à la même période de 2014, en liaison avec les hausses respectives des abattages d’ovins (+9%) et de bovins (+5,2%). Ces performances traduisent, en partie, les résultats de la lutte contre l’abattage clandestin mais aussi à l’abattage des animaux d’âge avancé, avant la transhumance liée au manque de pâturage dû au mauvais hivernage 2014-2015.
El Hadj Diakhaté
Sur un an, le sous – secteur de l’élevage a progressé de 3,7% au troisième trimestre 2015. « Ce bon comportement traduit les performances enregistrées au niveau des abattages contrôlés de bovins (+2,4%), d’ovins (+15,3%) et d’asins (+12,7%) », souligne la DPEE. Elle ajoute, concernant cette dernière espèce, que l’augmentation de la production s’explique par un relèvement de la demande intérieure, émanant essentiellement de la communauté asiatique, mais aussi par l’accroissement des exportations vers le Vietnam et la Chine, notamment.
Sur les trois premiers trimestres de 2015, l’activité d’élevage a crû de 4,5%, comparativement à la même période de 2014, en liaison avec les hausses respectives des abattages d’ovins (+9%) et de bovins (+5,2%). Ces performances traduisent, en partie, les résultats de la lutte contre l’abattage clandestin mais aussi à l’abattage des animaux d’âge avancé, avant la transhumance liée au manque de pâturage dû au mauvais hivernage 2014-2015.
El Hadj Diakhaté