Cette contreperformance est imputable aux baisses respectives des productions contrôlées de viande bovine (-12,0%), ovine (-4,0%) et caprine (-16,2). En effet, une diminution du poids moyen des bovins est notée sur la période, après la période d’embouche paysanne, ainsi qu’une baisse du nombre de têtes de petits ruminants entrés en parc.
En variation glissante sur un an, le sous-secteur de l’élevage a enregistré une contraction de 0,7% au troisième trimestre contre un affermissement de 1,6% sur les neuf premiers mois de 2017.
Ce dernier est notamment soutenu par les progressions respectives des abattages contrôlés de bovins (+0,9%), d’ovins (+3,2%) et de caprins (+6,3%), grâce aux effets conjugués de la lutte contre les abattages clandestins, de l’augmentation du poids moyen des bovins (à la faveur de l’embouche) et de l’intensification des entrées d’animaux en provenance du Mali.
Pathé TOURE
En variation glissante sur un an, le sous-secteur de l’élevage a enregistré une contraction de 0,7% au troisième trimestre contre un affermissement de 1,6% sur les neuf premiers mois de 2017.
Ce dernier est notamment soutenu par les progressions respectives des abattages contrôlés de bovins (+0,9%), d’ovins (+3,2%) et de caprins (+6,3%), grâce aux effets conjugués de la lutte contre les abattages clandestins, de l’augmentation du poids moyen des bovins (à la faveur de l’embouche) et de l’intensification des entrées d’animaux en provenance du Mali.
Pathé TOURE