Selon la Direction de la prévision et des études économiques (Dpee), cette contreperformance reflète le repli de 4,3% de la production contrôlée de viande bovine. En effet, une importante baisse des entrées de bêtes, en provenance notamment du Mali, est observée, suite aux changements de stratégie de vente des fournisseurs pour répondre au niveau élevé d’endettement des grandes boucheries de la place. Ainsi, le prix de la viande de bœuf a progressé de 1,3% sur la période.
En revanche, sur un an, une amélioration (+4,3%) de la production du sous-secteur de l’élevage est enregistrée au deuxième trimestre 2017, reflétant l’augmentation des abattages d’ovins (+9,1%) et de caprins (+6,7%) dans un contexte de célébration de la fin du jeun musulman (fête de l’Aïd-El-Fitr).
Sur le premier semestre 2017, le renforcement des abattages contrôlés de bovins (+3,3%) a porté un raffermissement de 2,7% du sous–secteur de l’élevage, en glissement annuel. En effet, à la faveur de l’embouche et de l’arrivée d’animaux en provenance du Mali, plus de 271 tonnes de viande bovine ont été produites pour un cheptel abattu de 1832 têtes de moins.
Pathé TOURE
En revanche, sur un an, une amélioration (+4,3%) de la production du sous-secteur de l’élevage est enregistrée au deuxième trimestre 2017, reflétant l’augmentation des abattages d’ovins (+9,1%) et de caprins (+6,7%) dans un contexte de célébration de la fin du jeun musulman (fête de l’Aïd-El-Fitr).
Sur le premier semestre 2017, le renforcement des abattages contrôlés de bovins (+3,3%) a porté un raffermissement de 2,7% du sous–secteur de l’élevage, en glissement annuel. En effet, à la faveur de l’embouche et de l’arrivée d’animaux en provenance du Mali, plus de 271 tonnes de viande bovine ont été produites pour un cheptel abattu de 1832 têtes de moins.
Pathé TOURE