M. Mamadou Lamine N’Dongo Représentant résident régional de la Banque Africaine de Développement (BAD) au Sénégal.
M. N’Dongo prenait part à la cérémonie de signature de conventions entre le papejf et les agences ANIDA, ANA et ANPEJ. Il en veut pour preuve que le projet vise entre autres à « favoriser l’émergence de micro, petites et moyennes entreprises (MPME) de jeunes et de femmes, principalement dans les chaînes de valeur agricole et des services pour la création d’emplois, promouvoir les investissements dans des infrastructures technologiques et logistiques à fort potentiel d’emplois principalement pour des actifs sans qualification, faciliter l’auto-emploi des jeunes par la valorisation des compétences à travers des formations qualifiantes et de mise à niveau ».
De l’avis de M. N’Dongo, il s’agira de créer dans les zones d’intervention du projet, un environnement technologique et logistique permettant de relever la productivité, en vue de favoriser l’émergence des MPME, et de sédentariser les jeunes et les femmes.
« Ces infrastructures comprennent les 66 fermes agricoles intégrées à réaliser par l’ANIDA et les 90 fermes aquacoles, par l’Agence Nationale de l’Aquaculture ».
Ces deux agences permettront aussi à la création d’au moins 6.000 emplois directs pour les jeunes et les femmes.
Quant à l’ANPEJ, la convention va lui permettre de réhabiliter 8 centres d’incubation et d’en construire 10 autres dans les filières Menuiseries Bois & Aluminium, Bâtiment & Travaux Publics, Mécanique et Produits halieutiques.
Selon le représentant résident de la BAD, le choix de ces trois agences n’est pas un fait de hasard. « Il est fondé sur leurs expertises avérées et leurs expériences éprouvées dans leurs domaines respectifs de compétences » a-t-il laissé entendre, non sans réaffirmé J’accompagnement de la BAD tout au long de la mise en œuvre du PAPEJF.
Ismaila BA
De l’avis de M. N’Dongo, il s’agira de créer dans les zones d’intervention du projet, un environnement technologique et logistique permettant de relever la productivité, en vue de favoriser l’émergence des MPME, et de sédentariser les jeunes et les femmes.
« Ces infrastructures comprennent les 66 fermes agricoles intégrées à réaliser par l’ANIDA et les 90 fermes aquacoles, par l’Agence Nationale de l’Aquaculture ».
Ces deux agences permettront aussi à la création d’au moins 6.000 emplois directs pour les jeunes et les femmes.
Quant à l’ANPEJ, la convention va lui permettre de réhabiliter 8 centres d’incubation et d’en construire 10 autres dans les filières Menuiseries Bois & Aluminium, Bâtiment & Travaux Publics, Mécanique et Produits halieutiques.
Selon le représentant résident de la BAD, le choix de ces trois agences n’est pas un fait de hasard. « Il est fondé sur leurs expertises avérées et leurs expériences éprouvées dans leurs domaines respectifs de compétences » a-t-il laissé entendre, non sans réaffirmé J’accompagnement de la BAD tout au long de la mise en œuvre du PAPEJF.
Ismaila BA