La Banque africaine de développement (BAD) a réussi un joli coup. Elle a lancé avec succès, une nouvelle émission obligataire globale d’un milliard de dollars à 2 ans, arrivant à échéance le 3 novembre 2017. Selon un communiqué, cette transaction est la deuxième émission obligataire globale de référence de la BAD en 2015, suite à l’émission à 5 ans lancée en février dernier et la toute première ayant une maturité de 2 ans depuis 2009.
Toujours selon le communiqué, l’émission a été sursouscrite avec un registre d’ordres qui ont dépassé 1,9 milliard de dollars avant l’ouverture officielle du carnet d’ordres, ce qui traduit un signal très positif compte tenu de la récente volatilité et de l’incertitude sur les marchés. La demande a été portée par des comptes d’une très grande qualité avec une participation de 64% des banques centrales et institutions officielles. Le reste fut partagé entre les gestionnaires de fonds (20%), les fonds de pension (10%) et les banques et entreprises (6%).
«Géographiquement, la demande a été très diversifiée à travers le monde avec 41% de participation pour les Amériques, 32% pour l’Europe, 19% pour l’Asie et 8% pour l’Afrique», indique le communiqué.
Le placement de cette émission a été dirigé conjointement par Bank of America Merrill Lynch, Goldman Sachs, J.P. Morgan et Société Générale.
Notée AAA par les agences Moodys, Fitch, Japan Credit Rating Agency et Standard & Poor’s, cette nouvelle émission obligataire globale d’un milliard de dollars à 2 ans montre que les investisseurs sur les marchés financiers internationaux sont restés fidèles à la Banque.
Pathé TOURE
Toujours selon le communiqué, l’émission a été sursouscrite avec un registre d’ordres qui ont dépassé 1,9 milliard de dollars avant l’ouverture officielle du carnet d’ordres, ce qui traduit un signal très positif compte tenu de la récente volatilité et de l’incertitude sur les marchés. La demande a été portée par des comptes d’une très grande qualité avec une participation de 64% des banques centrales et institutions officielles. Le reste fut partagé entre les gestionnaires de fonds (20%), les fonds de pension (10%) et les banques et entreprises (6%).
«Géographiquement, la demande a été très diversifiée à travers le monde avec 41% de participation pour les Amériques, 32% pour l’Europe, 19% pour l’Asie et 8% pour l’Afrique», indique le communiqué.
Le placement de cette émission a été dirigé conjointement par Bank of America Merrill Lynch, Goldman Sachs, J.P. Morgan et Société Générale.
Notée AAA par les agences Moodys, Fitch, Japan Credit Rating Agency et Standard & Poor’s, cette nouvelle émission obligataire globale d’un milliard de dollars à 2 ans montre que les investisseurs sur les marchés financiers internationaux sont restés fidèles à la Banque.
Pathé TOURE