La Banque africaine de développement publie sa nouvelle Revue synthétique des résultats pays, consacrée cette fois à la Guinée. Selon un communiqué reçu au Journal de l’économie sénégalaise (Lejecos)), ce rapport fait le point sur les progrès accomplis par la Guinée ces dix dernières années et sur la manière dont la Banque y a contribué, notamment dans les domaines de la gouvernance économique et financière, de l’agriculture, des infrastructures routières et énergétiques, et pour améliorer les conditions de vie des populations.
Le rapport souligne également les nombreux défis auxquels le pays fait face pour mieux exploiter son vaste potentiel de développement, mieux résister aux chocs et faire davantage bénéficier sa population des fruits de la croissance économique.
La Revue décrit les tendances économiques et sociales récentes en Guinée, en particulier celles liées aux cinq grandes priorités de développement de la Banque que sont ses High 5 : Éclairer et alimenter l’Afrique en énergie ; Nourrir l’Afrique ; Industrialiser l’Afrique ; Intégrer l’Afrique ; Améliorer la qualité de vie des populations d’Afrique. Ces cinq grandes priorités se fondent sur un ensemble d’indicateurs issus du Cadre de mesure des résultats 2016-2025 de la Banque. Les résultats sont éloquents.
Dans le secteur de la gouvernance économique, la Banque a contribué à l’amélioration de la gestion budgétaire et financière, ainsi que du système de passation des marchés.
Dans l’énergie, les projets de la Banque ont permis de faire bénéficier près de 500 000 personnes de raccordements nouveaux ou améliorés au réseau électrique.
Dans le domaine du développement rural, la Banque a permis que 465 000 personnes bénéficient d’un accès à l’eau potable et à l’assainissement.
Le soutien de la Banque au renforcement des capacités nationales de négociation dans le secteur minier a permis l’élaboration des nouveaux codes miniers et pétroliers, la renégociation de 19 contrats et conventions miniers et que le pays se conforme à l’Initiative pour la transparence des industries extractives.
Dans le domaine de la microfinance, 134 PME et microentreprises ont été créées et 132 000 microcrédits accordés grâce au soutien de la Banque.
Dans les transports, le Projet de réaménagement de la route Tombo-Gbessia a permis de réduire de 80 % le temps d’accès au centre-ville de Conakry.
La Banque a eu un rôle crucial dans la lutte contre l’épidémie du virus Ébola et a financé la construction de 27 centres spécialisés de traitement épidémiologiques dans tout le pays, à même de faire face à de nouvelles épidémies dans le futur.
« Cette Revue souligne l’étendue des efforts menés par la Guinée au cours des dix dernières années, dans sa quête de développement basée sur son énorme potentiel, malgré les chocs qu’elle a eu à subir, indique Marie-Laure Akin-Olugbade », la directrice générale de la Banque pour l’Afrique de l’Ouest.
Adou FAYE
Le rapport souligne également les nombreux défis auxquels le pays fait face pour mieux exploiter son vaste potentiel de développement, mieux résister aux chocs et faire davantage bénéficier sa population des fruits de la croissance économique.
La Revue décrit les tendances économiques et sociales récentes en Guinée, en particulier celles liées aux cinq grandes priorités de développement de la Banque que sont ses High 5 : Éclairer et alimenter l’Afrique en énergie ; Nourrir l’Afrique ; Industrialiser l’Afrique ; Intégrer l’Afrique ; Améliorer la qualité de vie des populations d’Afrique. Ces cinq grandes priorités se fondent sur un ensemble d’indicateurs issus du Cadre de mesure des résultats 2016-2025 de la Banque. Les résultats sont éloquents.
Dans le secteur de la gouvernance économique, la Banque a contribué à l’amélioration de la gestion budgétaire et financière, ainsi que du système de passation des marchés.
Dans l’énergie, les projets de la Banque ont permis de faire bénéficier près de 500 000 personnes de raccordements nouveaux ou améliorés au réseau électrique.
Dans le domaine du développement rural, la Banque a permis que 465 000 personnes bénéficient d’un accès à l’eau potable et à l’assainissement.
Le soutien de la Banque au renforcement des capacités nationales de négociation dans le secteur minier a permis l’élaboration des nouveaux codes miniers et pétroliers, la renégociation de 19 contrats et conventions miniers et que le pays se conforme à l’Initiative pour la transparence des industries extractives.
Dans le domaine de la microfinance, 134 PME et microentreprises ont été créées et 132 000 microcrédits accordés grâce au soutien de la Banque.
Dans les transports, le Projet de réaménagement de la route Tombo-Gbessia a permis de réduire de 80 % le temps d’accès au centre-ville de Conakry.
La Banque a eu un rôle crucial dans la lutte contre l’épidémie du virus Ébola et a financé la construction de 27 centres spécialisés de traitement épidémiologiques dans tout le pays, à même de faire face à de nouvelles épidémies dans le futur.
« Cette Revue souligne l’étendue des efforts menés par la Guinée au cours des dix dernières années, dans sa quête de développement basée sur son énorme potentiel, malgré les chocs qu’elle a eu à subir, indique Marie-Laure Akin-Olugbade », la directrice générale de la Banque pour l’Afrique de l’Ouest.
Adou FAYE