L’amélioration de l’environnement des affaires est un combat de tous les pays. Dans ce sens, l’EDBI constitue une plateforme d’échange de bonne pratique sur les réformes mesurées par le rapport Doing Business du Groupe de la Banque mondiale. Selon un communiqué, la conférence de l’EDBI permet aux pays participants de promouvoir les bonnes pratiques acquises à travers l’effort d’amélioration des environnements des affaires, mais aussi de tirer les enseignements des expériences, des succès et des défis rencontrés par les pays réformateurs à travers l’Afrique Sub-Saharienne.
Le thème de la conférence EDBI 2016 était ‘Digitalisation et services gouvernementaux” et a permis aux participants de discuter de comment les nouvelles technologies aident les Etats à accélérer leurs réformes et à fournir des services plus rapides et plus efficients aux entreprises et aux citoyens.
Oumar Seydi, Directeur Régional de l’IFC pour l’Afrique de l’Est et Australe, a salué le haut niveau d’engagement à travers l’Afrique Sub-Saharienne en faveur des réformes des environnements des affaires et historique.
Selon lui, grâce à l’EDBI, le Groupe de la Banque mondiale encourage cet engagement et cherche à aider les pays réformateurs à réduire l’écart qui les sépare des meilleurs pratiques au niveau mondial.
Le communiqué indique que le classement des pays d’Afrique Sub-Saharienne dans le rapport Ding Business est en constante progression. Dans l’édition 2016 du rapport, l’Afrique a passé 30 pour cent des 231 réformes comptées au niveau mondial, ce qui la place en tête dans le classement des régions. Cinq pays de la région figurent parmi les 10 économies ayant le plus amélioré leur climat des affaires.
Les débats au cours de la conférence ont permis de faire ressortir plusieurs points saillants, notamment le besoin, pour les pays réformateurs, de se focaliser sur l’impact des réformes sur le terrain.
Pathé TOURE
Le thème de la conférence EDBI 2016 était ‘Digitalisation et services gouvernementaux” et a permis aux participants de discuter de comment les nouvelles technologies aident les Etats à accélérer leurs réformes et à fournir des services plus rapides et plus efficients aux entreprises et aux citoyens.
Oumar Seydi, Directeur Régional de l’IFC pour l’Afrique de l’Est et Australe, a salué le haut niveau d’engagement à travers l’Afrique Sub-Saharienne en faveur des réformes des environnements des affaires et historique.
Selon lui, grâce à l’EDBI, le Groupe de la Banque mondiale encourage cet engagement et cherche à aider les pays réformateurs à réduire l’écart qui les sépare des meilleurs pratiques au niveau mondial.
Le communiqué indique que le classement des pays d’Afrique Sub-Saharienne dans le rapport Ding Business est en constante progression. Dans l’édition 2016 du rapport, l’Afrique a passé 30 pour cent des 231 réformes comptées au niveau mondial, ce qui la place en tête dans le classement des régions. Cinq pays de la région figurent parmi les 10 économies ayant le plus amélioré leur climat des affaires.
Les débats au cours de la conférence ont permis de faire ressortir plusieurs points saillants, notamment le besoin, pour les pays réformateurs, de se focaliser sur l’impact des réformes sur le terrain.
Pathé TOURE