Pour préparer les prochaines étapes de la production de carburants éligibles Corsia, notamment les Saf, la sensibilisation se poursuit auprès de toutes les parties prenantes d’où la tenue d’un atelier régional de deux jours, les 03 et 04 février 2025 à la direction générale de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim), point focal du Corsia au Sénégal.
Le directeur général de l’Aancim, Dr Diaga Basse, a rappelé que déjà en 2019, l’aviation civile représentait environ 2 % des émissions mondiales de CO2 et ce pourcentage devrait évoluer dans les années à venir avec l’augmentation du trafic aérien.
Un communiqué de l’agence rapporte que contrairement aux carburants fossiles traditionnels, les Saf peuvent permettre une réduction significative jusqu’à 80% des émissions de CO2 sur leur cycle de vie complet, s’ils respectent les critères de durabilité.
A l’en croire, l’atelier de Dakar se tient dans le cadre du Programme de renforcement des capacités pour l’atténuation des émissions de CO2 de l’aviation internationale en Afrique et dans les Caraïbes, financé par l’Union Européenne et mis en œuvre par l’Agence de l’Union européenne pour la sécurité aérienne (Easa).
Selon l’Anacim, plusieurs entités prennent part à la rencontre en présentiel et en ligne, comme le ministère des infrastructures et des transports terrestres et aériens, celui l’environnement et de la transition écologique, celui des énergies, du pétrole et des mines, les compagnies aériennes nationales, les gestionnaires d’aéroports comme LAS (Limak-Aibd-Summa) et AIBD SA ou encore la société de manutention de carburants aviation (SMCADY) et la société de handling 2AS.
Une délégation venue du Togo et composée de représentants de l’Agence nationale de l’Aviation civile du Togo, de la Direction des hydrocarbures et du Ministère de l’Environnement, participe aux travaux.
Bassirou MBAYE
Le directeur général de l’Aancim, Dr Diaga Basse, a rappelé que déjà en 2019, l’aviation civile représentait environ 2 % des émissions mondiales de CO2 et ce pourcentage devrait évoluer dans les années à venir avec l’augmentation du trafic aérien.
Un communiqué de l’agence rapporte que contrairement aux carburants fossiles traditionnels, les Saf peuvent permettre une réduction significative jusqu’à 80% des émissions de CO2 sur leur cycle de vie complet, s’ils respectent les critères de durabilité.
A l’en croire, l’atelier de Dakar se tient dans le cadre du Programme de renforcement des capacités pour l’atténuation des émissions de CO2 de l’aviation internationale en Afrique et dans les Caraïbes, financé par l’Union Européenne et mis en œuvre par l’Agence de l’Union européenne pour la sécurité aérienne (Easa).
Selon l’Anacim, plusieurs entités prennent part à la rencontre en présentiel et en ligne, comme le ministère des infrastructures et des transports terrestres et aériens, celui l’environnement et de la transition écologique, celui des énergies, du pétrole et des mines, les compagnies aériennes nationales, les gestionnaires d’aéroports comme LAS (Limak-Aibd-Summa) et AIBD SA ou encore la société de manutention de carburants aviation (SMCADY) et la société de handling 2AS.
Une délégation venue du Togo et composée de représentants de l’Agence nationale de l’Aviation civile du Togo, de la Direction des hydrocarbures et du Ministère de l’Environnement, participe aux travaux.
Bassirou MBAYE