Dans la même année, ajoute-t-elle, la production de viande de volaille a représenté 36% de la production nationale de viande, toutes espèces confondues, qui était à 242 641 tonnes.
Une moyenne de progression de 15% par an est notée, a souligné Aminata Mbengue Ndiaye qui a présidé le démarrage des travaux d’un atelier sur l’amélioration de la filière avicole sénégalaise.
Selon la ministre, la production en œufs de consommation a été évaluée à 615 millions d’unités, avec une moyenne annuelle de progression de sept ans.
"Ces résultats ont été possibles grâce à l’important tissu industriel et d’entreprises mis en place autour de l’aviculture, notamment dans les domaines de l’alimentation, de la production de poussins, de la santé et de la transformation’’, a dit Aminata Mbengue Ndiaye. Depuis 2005, a-t-elle rappelé, la filière avicole évolue dans un contexte de protection due à la menace liée à la grippe aviaire.
"Cela a été renforcé encore en 2012 par le président de la République, Macky Sall qui, à plusieurs reprises, au niveau des instances internationales, a exprimé sans équivoque, sa ferme volonté de maintenir le statu quo, afin de donner le temps nécessaire à notre filière avicole, pour qu’elle s’organise, se renforce et soit, à terme, en mesure de faire face à la rude concurrence du marché international", a-t-elle souligné.
Depuis lors, d’"énormes efforts" ont été faits par le privé national et les producteurs, qui ont consenti beaucoup d’investissements pour relever le défi de l’"approvisionnement correct" du marché national en poulets et en œufs.
Ainsi, la filière avicole n’a cessé de progresser, a relevé Aminata Mbengue Ndiaye, exprimant la "profonde gratitude" des autorités sénégalaises et des acteurs de la filière avicole à l’endroit de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), qui a financé l’organisation de cet atelier.
Cet appui entre dans le cadre de la mise en œuvre de la politique agricole de l’Union (PAU) et, en particulier, du plan directeur des filières agricoles prioritaires, conduits par la Commission de l’UEMOA.
"C’est encore une grande opportunité que nous offre ainsi la Commission de l’UEMOA qui s’est engagée depuis plus de trois ans à appuyer directement les acteurs de la filière avicole de notre sous-région, à hauteur de 12,5 millions de francs CFA à chaque Etat-membre, en vue de l’organisation d’ateliers nationaux (...)", a-t-elle expliqué.
L’objectif vise à les doter d’organisations professionnelles capables d’assumer leurs rôles et responsabilités pour lever les contraintes et engager les filières avicoles nationales dans la voie de l’émergence, à travers le renforcement de leur productivité, de leur compétitivité.
La ministre de l’Elevage et des Productions animales a fait remarquer que le gouvernement enregistre avec beaucoup de satisfaction toutes ces "performances tangibles" et loue l’engagement des acteurs qui investissent dans ce domaine. Selon elle, ils ont pris des risques importants face aux menaces extérieures pour la satisfaction des besoins de la nation et l’autonomie alimentaire du pays en produits avicoles.
APS
Une moyenne de progression de 15% par an est notée, a souligné Aminata Mbengue Ndiaye qui a présidé le démarrage des travaux d’un atelier sur l’amélioration de la filière avicole sénégalaise.
Selon la ministre, la production en œufs de consommation a été évaluée à 615 millions d’unités, avec une moyenne annuelle de progression de sept ans.
"Ces résultats ont été possibles grâce à l’important tissu industriel et d’entreprises mis en place autour de l’aviculture, notamment dans les domaines de l’alimentation, de la production de poussins, de la santé et de la transformation’’, a dit Aminata Mbengue Ndiaye. Depuis 2005, a-t-elle rappelé, la filière avicole évolue dans un contexte de protection due à la menace liée à la grippe aviaire.
"Cela a été renforcé encore en 2012 par le président de la République, Macky Sall qui, à plusieurs reprises, au niveau des instances internationales, a exprimé sans équivoque, sa ferme volonté de maintenir le statu quo, afin de donner le temps nécessaire à notre filière avicole, pour qu’elle s’organise, se renforce et soit, à terme, en mesure de faire face à la rude concurrence du marché international", a-t-elle souligné.
Depuis lors, d’"énormes efforts" ont été faits par le privé national et les producteurs, qui ont consenti beaucoup d’investissements pour relever le défi de l’"approvisionnement correct" du marché national en poulets et en œufs.
Ainsi, la filière avicole n’a cessé de progresser, a relevé Aminata Mbengue Ndiaye, exprimant la "profonde gratitude" des autorités sénégalaises et des acteurs de la filière avicole à l’endroit de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), qui a financé l’organisation de cet atelier.
Cet appui entre dans le cadre de la mise en œuvre de la politique agricole de l’Union (PAU) et, en particulier, du plan directeur des filières agricoles prioritaires, conduits par la Commission de l’UEMOA.
"C’est encore une grande opportunité que nous offre ainsi la Commission de l’UEMOA qui s’est engagée depuis plus de trois ans à appuyer directement les acteurs de la filière avicole de notre sous-région, à hauteur de 12,5 millions de francs CFA à chaque Etat-membre, en vue de l’organisation d’ateliers nationaux (...)", a-t-elle expliqué.
L’objectif vise à les doter d’organisations professionnelles capables d’assumer leurs rôles et responsabilités pour lever les contraintes et engager les filières avicoles nationales dans la voie de l’émergence, à travers le renforcement de leur productivité, de leur compétitivité.
La ministre de l’Elevage et des Productions animales a fait remarquer que le gouvernement enregistre avec beaucoup de satisfaction toutes ces "performances tangibles" et loue l’engagement des acteurs qui investissent dans ce domaine. Selon elle, ils ont pris des risques importants face aux menaces extérieures pour la satisfaction des besoins de la nation et l’autonomie alimentaire du pays en produits avicoles.
APS