Dénonçant la mauvaise qualité de ces huiles qui «portent atteinte aux producteurs régionaux et menacent l’emploi», l’association convie les consommateurs à se tourner vers l’huile de palme, d’arachide ou de graine de coton, produite localement.
Alors que plus de la moitié des huiles alimentaires consommées en Afrique sont importées, l’AIFO indique que le continent gagnerait à modifier son tissu industriel dans ce sous-secteur afin de profiter d’une consommation qui devrait augmenter de plus de 60% à l’horizon 2030 dans le cas de l’huile de palme. Selon elle, la production locale pourrait tirer avantage de facteurs comme l’immensité des superficies arables, la disponibilité de la main d’œuvre ou encore l’accès aux marchés internationaux.
Ecofin
Alors que plus de la moitié des huiles alimentaires consommées en Afrique sont importées, l’AIFO indique que le continent gagnerait à modifier son tissu industriel dans ce sous-secteur afin de profiter d’une consommation qui devrait augmenter de plus de 60% à l’horizon 2030 dans le cas de l’huile de palme. Selon elle, la production locale pourrait tirer avantage de facteurs comme l’immensité des superficies arables, la disponibilité de la main d’œuvre ou encore l’accès aux marchés internationaux.
Ecofin